Rencontre avec les vignerons du centre-ville de Marseille
À le feuilleter trop vite, ça ressemblerait presque à un de ces tours de producteurs des hors-série sur les rosés de l’été. Il y a la photo-portrait, l’avis de l’œnologue, l’adresse et même le prix indicatif de la bouteille. Sauf que Libération n’a pas eu à vider son réservoir pour remplir son gosier dans les quatre chais visités, à Saint-Charles (1er), au Panier (2e), à la Corderie (7e) et à la Belle de mai (3e). Et que l’article construit ainsi par petites touches une histoire qui sort davantage des rangs, celle de vignerons urbains dans la deuxième ville de France.
Vignerons, tous n’en n’ont pas exactement le titre, puisque certains d’entre eux ne cultivent pas le raisin qu’ils élèvent et mettent en bouteille. Mais tous partagent le goût du vin nature, associé à l’affranchissement des codes. “On n’a pas d’étiquette, le projet est novateur, alors que le travail d’un domaine en Provence est assez convenu”, considère Franck Pasquier, qui a installé ses cuves en ville, à 80 kilomètres de ses 10 hectares de vigne situés dans les Alpilles. Ce qui en fait un des rares accessibles aux Marseillais dans un rayon de 10 kilomètres. L’article est à lire ici.
Source : LibérationCommentaires
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Sympa, mais l’article de Libération étant illisible aux non-abonnés, je reste un peu (beaucoup) sur ma soif…
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Je partage la déception !
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Bonjour,
Sachez que si vous êtes abonnés aux bibliothèques de marseille (gratuit en ce moment), vous avez la possibilité de la lire la presse en ligne gratuitement sur votre “espace” bmvr.
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Je ne sais pas si le vin issu de ces pérégrinations vaut le coup (de coude), mais à Montmartre le bilan carbone est certainement meilleur. Sans parler du mou, qui doit finir dieu sait où ? Corbière ?
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