Les multiples abus des bons samaritains de l’hébergement temporaire
Fin d'hébergement en plein confinement, visites surprises chez les occupants, clauses abusives : Camelot Europe, société qui propose des hébergements temporaires dans des locaux vides, ne ménage pas ses locataires.
Ancien bâtiment de l'Ecole Supérieure des Professions Immobilières au 118 boulevard de Paris. (Crédit photo : Benoît Gilles)
Commentaires
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Quand on confie au privé la gestion du social, il ne faut pas s’étonner que les objectifs de rentabilité prennent le dessus. Des marchants de sommeil pour des locataires sans droit : c’est la solution que le libéralisme propose à des élus pressés de se débarrasser du problème avec en prime la bénédiction des associations qui constatent trop tard les effets de la supercherie.
Pour prolonger et/ou se faire une idée plus précise de la « mécanique » adoptée, en évitant les contraintes de la loi: https://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/905-logement-paye-ta-precarite
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Vous avez tout dit !! Et dans cette époque plus que trouble, les charognards comme toujours sont à l’affût et s’en sorte bien comme toujours.
J’aimerais savoir quel aide l’Etat accorde à ce genre de structure.
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Exploitation de la misère ! Honteux !
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et le Préfet quand il a donné son agrément n’a rien trouvé à redire au contrat
l’État délègue et n’exerce pas son obligation de contrôle sans doute la faute d’un ou d’une fonctionnaire de base !!
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Faire confiance à une entreprise qui s’appelle ”Camelot” je m’en méfierais, mais, bon, les pauvres résidents sont bien contents de s’y loger.
Sinon la Fondation Abbé Pierre ou les restau. du Cœur n’ont pas des avocats pour empêcher ce genre de pratiques limite-frauduleuses.
La mairie n’aurait-elle pas un service uniquement dédié aux plus précaires…?
Le partenariat public privé me semble rempli de ces dérives, cf les écoles!!
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Sérieusement ,c est la France en 2020?mon dieu, quelle tristesse.
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Sidérant…
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J’ai bien le sentiment que l’article initial est orienté. Ne pas y faire mention des arguments de l’entreprise est très limite. L’excuse du délai de bouclage semble peu crédible.
Sur le fond, il n’est certes pas facile de quitter un logement à 250 euros / mois dans Marseille. Mais le contrat semble clair.
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Tjs orienté ici…
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Le problème c’est qu’il y a dans ce contrat de location un autre contrat qui serait bien un contrat de travail et ça ce n’est pas légal. La préfecture semble confirmer.
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Probablement en effet, et ça n’excuse pas les menaces, le dépôt de garantie de 2 mois au lieu d’1…
C’est plus l’excuse du délai de bouclage, pour un journal numérique, que l’article sorte le jour même ou dans 3 jours, ça ne change pas grand chose.
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