Pas d’escroquerie lors de la vente de l’école Saint-Thomas-d’Aquin
Le tribunal correctionnel de Marseille a relaxé ce mercredi les cinq religieuses poursuivies pour escroquerie lors de la vente de l’école Saint-Thomas-d’Aquin, nous apprend l’AFP. Elles étaient poursuivies pour avoir antidaté des procès-verbaux d’assemblée générale afin de conclure la vente de ce grand établissement du centre-ville de Marseille. L’établissement avait été cédé en 2012 pour un peu moins de 4 millions d’euros à un promoteur immobilier. La vente a depuis été cassée car le bâtiment a entre-temps été classé monument historique. Tout l’été, une exposition avait permis la visite du lieu redécoré par plusieurs artistes graffeurs ou plasticiens.
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