[Retour aux sources] Sur les traces du castor… et d’un espoir de réserve naturelle

Série
le 5 Sep 2020
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La Durance est la source d’eau de trois millions d’hommes mais de combien de castors ? Nous sommes allées sur leurs traces dans les Alpes-de-Haute-Provence, un matin d’août. Un bon prétexte pour parler de biodiversité au fil de l’eau.

Photo : Sandrine Lana
Photo : Sandrine Lana

Photo : Sandrine Lana

La série

Depuis le robinet que l'on ouvre sans y penser, Marsactu remonte le fil de l'eau amenée par le canal de Marseille. Des rigoles aux glacier des Écrins, c'est notre retour aux sources estivales.

Le soleil donne des reflets d’argent aux eaux calmes de la Durance et de la Bléone, son affluent aux abords du village de Malijai. Nous attendons l’ “expert local du castor”, selon l’Office du Tourisme de Château-Arnoux (04), Daniel Madeleine, président de La Cistude, une association de protection de la nature qui porte le nom d’une tortue qu’il espère un jour revoir dans la Durance. Partir sur les traces du castor, ce mammifère aquatique, c’est un prétexte pour appréhender la faune et la flore exceptionnelles de la Durance que les projets humains ont secoué à maintes reprises. Daniel Madeleine arrive au point de rendez-vous accompagné de Patrick Collombon, mycologue renommé et bénévole à la ligue de protection des oiseaux Bléone-Durance aux côtés ...
Sandrine Lana
Journaliste indépendante qui a quitté l'hyper-centre de Marseille pour l'hyper-vert de la Provence. Je travaille sur les thématiques médico-sociales, sociétales et migratoires pour la presse française et belge. J'associe parfois mon travail à celui d'illustrateurs pour des récits graphiques documentaires.

Commentaires

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  1. Catseyess Catseyess

    Merci pour cet article, y aura t’il une suite ? Et le lien avec les possibles voies réglementaires : site Natura 2000, infractions a directive cadre eaux? etc…

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  2. jean-marie MEMIN jean-marie MEMIN

    Il y a quelques dizaines d’années, le site de Sanofi était déjà pollué et les castors s’ébattaient dans la Bléone. Merci de ne pas avoir trop détaillé le site pour éviter que les bipèdes humains-même animés des meilleurs intentions- s’agglutinent sur le site.
    Quant à la réserve ornithologique faudra bien pousser pour que les élus s’y mettent.

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