Malgré les contrôles, les logements des travailleurs détachés agricoles restent des taudis
Suite à la découverte de nouveaux foyers de Covid-19 dans des lieux d’hébergements de travailleurs agricoles, des contrôles de la préfecture ont débouché sur trois arrêtés de fermeture entre début mai et fin juin. Marsactu s’est rendu dans plusieurs de ces exploitations pour constater que l’insalubrité y persistait, malgré les contrôles. La promiscuité, le non-raccordement à l’eau potable et des puces de lit font toujours partie du quotidien des travailleurs.
Malgré les contrôles, les logements des travailleurs détachés agricoles restent des taudis
Ça paraît incroyable que l’on puisse traiter de façon aussi indigne des salariés. La relation employeur employé passe par un contrat qui ne place pas les uns au-dessus des autres : un travail, un salaire dans des conditions réglementées. L’exploitation des personnes relève d’un temps révolu et j’invite ces patrons à vivre une semaine avec leurs salariés. Une bonne pratique managériale , une forme de séminaire, pour stimuler la motivation. En fait je suis outrée et j’espère que ces patrons là seront sanctionnés comme ils le méritent. Ça en fera sûrement rèflechir d’autres qui ne se sont pas encore fait épingler.
Se connecter pour écrire un commentaire.
C’est beau de rêver !
Se connecter pour écrire un commentaire.
La belle agriculture française, si vertueuse.
Se connecter pour écrire un commentaire.
les salariés Terra Fecundis sont-ils obligés d’être logés là ? ont-ils le choix de s’auto-loger avec 180 ou 200€ ? Les “indépendants” semblent préférer ces logements peu salubres, dans quelle proportion ?
Se connecter pour écrire un commentaire.
Entre le faible et le fort la liberté opprime et la loi affranchit. La France reste un État de droit et nous pouvons en être fiers.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Tout a fait ! C’était le sens de mon commentaire sur l’affaire “Papa Omri.” On peut toujours critiquer l’application parfois un peu trop sélective des lois par la police mais elles font de notre pays un état de droit. Si une loi ne plait pas, ce n’est pas la police qu’il faut critiquer mais la loi et donc interpeller les députés faiseurs de lois.
Se connecter pour écrire un commentaire.