Scandale des cimetières : “On veut faire croire que les agents sont les seuls responsables”

Actualité
le 13 Nov 2025
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Neuf ans après les premières alertes d’agents, le scandale du service funéraire marseillais arrive devant la justice administrative. Accusés de graves manquements après l'affaire du cimetière Saint-Pierre, ils affirment avoir été sacrifiés pour masquer les défaillances d’un service municipal à l’abandon et contestent leur révocation.

Devant le tribunal administratif, des agents municipaux rassemblés en soutien aux fossoyeurs sanctionnés par la Ville. (Photo : QM)
Devant le tribunal administratif, des agents municipaux rassemblés en soutien aux fossoyeurs sanctionnés par la Ville. (Photo : QM)

Devant le tribunal administratif, des agents municipaux rassemblés en soutien aux fossoyeurs sanctionnés par la Ville. (Photo : QM)

Au milieu des nuages orange de fumigènes qui s’évaporent difficilement au pied du tribunal administratif de Marseille (2e arrondissement), la contestation des militants CGT monte. La vingtaine de salariés du pôle des opérations funéraires de la Ville présents ce mercredi 12 novembre viennent au soutien de cinq de leurs collègues, sujets de l’audience du jour. Dans quelques minutes, le tribunal examinera le recours d’Hervé Henrisey, Pascal Boeri, Patrick Guerrero et Alain Busson, révoqués par la Ville de Marseille, et celui de Sébastien La Sala, mis à pied pendant deux ans. Ces agents de la plateforme de tri du service funéraire, sanctionnés par la municipalité en juillet 2024, sont accusés de graves manquements dans la gestion des restes humains. Ils contestent ...
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