La mairie d'Aubagne interdit des artistes "pornographiques"

Gaudin avait fait de même, peu de temps après son élection : il avait retirer des films soviétiques des années 20 d’une exposition au MAC, ce qui avait participé au départ de Bernard Blistène… Cela risquait de choquer les enfants, fort nombreux il est vrai au MAC.

L ‘oeuvre singulière de Marie Morel pouvait être exposée dans un lieu en “off” , d’autant plus qu’elle est de très bonne qualité. Je vais vite acheter les catalogues anciens de la Biennale d’AUBAGNE car c’était l’un de Festivals Singuliers les plus de aboutis de FRANCE.
C’est une partie du rayonnement des artistes singuliers qui s’écroule en France . L’ ART n’a rien à voir avec la POLITIQUE. A Nice, chez Estrosi, tout se passe bien mieux.

Bravo à la municipalité d’Aubagne. Ces manifestations sont subventionnées avec de l’argent public.

tiens donc Gazay est passé au FHAINE il ferait mieux de s occuper de la sécurité de ses concitoyens il a été élu pour ca au lieu de s occuper de leurs culs.

Il fallait s’y attendre. L’UMP servile remercie ses stipendiés du FN. Bientôt les seuls spectacles autorisés seront des autodafés des oeuvres de Diderot sur le cours Voltaire (qui aura, bien sûr, changé de nom!)

L’art n’est ni de gauche,… ni de droite. Je comprends la démission de Danielle JACQUI: elle voulait s’orienter vers une solution dans une continuité pour le festival vieux de 25 ans : la Mairie était un peu inexpérimentée sur ce genre de dispositif mais ouverte à une sortie par le haut.

Commencer par un manque de liberté d’expression, pour une nouvelle mairie, bonjour le modèle ! Au vu des affaires sorties auprès du même parti, je comprends que celui-ci évite toute liberté d’expression ! La commissaire d’exposition de part sa position radicale a décidé de laisser tomber une cinquantaine d’artistes à la dernière minute, quel manque de professionnalisme ! parfois il est bon d’écouter les anciens tels que D. Jacqui, qui a donné sa vie pour ce festival. C’est cela le don de soi et l’art !

Pour ceux qui doutaient , cette censure imbécile est la preuve que nous avons la droite la plus bête du monde

De toute façon, à la lecture de l’article, l’élan est cassé. Danielle JACQUI (avec ses qualités et ses défauts..) était l’âme du festival : elle a démissionné quand elle a compris que tout cela tournait au règlement de compte politique avec instrumentalisation des maladresses de la Nouvelle équipe Municipale. La ligne éditoriale de la Mairie a changé : il fallait adapter le dispositif du festival 2014 en conséquence ..juste par respect pour tous les artistes qui se sont impliqués pour cette année. Cela aurait été plus “pro”,je pense. Le FESTIVAL arrivait à maturité : c’est un vrai gâchis.

Bravo à l’équipe municipale d’Aubagne de ne pas céder au ditact idéologique de pseudos artistes qui “oeuvrent” avec l’argent public tout en voulant une liberté d’expression pas toujours appropriée au public vers qui ils se tournent.

Je trouve très triste, c’est lamentable qu’une artiste de très grande qualité comme Marie Morel soit censurée, qu’on puisse écrire et penser que son oeuvre soit pornographique. Marie Morel est une personne très authentique, elle est la fille de deux personnes qui ont beaucoup donné, l’éditeur Robert Morel et la relieuse-architecte Odette Ducarre. La petite revue qu’elle fabrique régulièrement, à propos des singuliers de l’art s’appelle Regard, c’est une merveille. En 2010 son travail faisait l’objet d’une exposition à la Halle Saint Pierre. Parmi les écrivains ou artistes qui ont écrit sur son travail, en oubliant d’autres personnes je peux citer Louis Pons, Gilbert Lascault, Pascal Quignard ou Charles Juliet. C’est dramatique de tenter d’étouffer une oeuvre à ce point libre. Et c’est triste de devoir constater que Danielle Jacqui ait renoncé….

L’oeuvre de Marie Morel est une aventure artistique d’exception. JE vous invite à voir son site. Je partage l’avis d’ Alain PAIRE sur l’intérêt et l’estime qu’il faut porter à cette artiste de premier ordre. Pour ce qui concerne le fiasco du festival d’AUBAGNE 2014, je pense par contre qu’il y a “torts partagés” entre la Mairie et l’association. Philippe AMY aurait dû relever le défi et proclamer que cette artiste est exceptionnelle et l’association aurait du choisir d’ elle même une autre oeuvre pour apaiser le débat.. et tout le monde aurait été content!.Or chacune des parties a fait une ” fixette” sur cette oeuvre qui est la plus clivante: “AMOUR”, restera malgré tout un joli “abécédaire” représentant quelques pratiques sexuelles extrêmes. MARIE MOREL a produit bien d’autres choses plus apaisantes. Avec son fonds d’atelier, il y a de quoi remplir le musée Cantini, son travail est vraiment superbe, très poétique !.http://mariemorel.net/………… De plus, sa revue ‘Regard” est également une pure merveille : merci à Marsactu pour cette belle découverte. Grâce au pseudo-scandale un peu manichéen d’AUBAGNE , j’ai découvert MARIE MOREL. http://www.arts-up.info/regard.htm

Les aubagnais découvrent l’imprimatur et font connaissance ,dans le même temps,avec “la thèse du bon sens” (!) de leur nouvel adjoint à la “culture”;( Et il y a ,sur ce forum,de volontaires pour appeler ça: “instrumentalisation des maladresses de la nouvelle équipe municipale”,”inexpérimentée” ou “néophyte”!) La droite continue à donner des gages au F.N et/ou la compète dans la course à la bêtise pour lui pomper des voix,avec le succès que l’on sait. Cette bonne (et accueillante jusqu’ici) ville d’Aubagne va souffrir,et pas qu’un peu.

Je viens de recevoir et j’ai immédiatement signé l’annonce d’une pétition qui sera adressée à la Mairie d’Aubagne.

225 signatures sont d’ores et déja enregistrées

Pour s’associer à cette pétition, il faut suivre ce lien,
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Mairie_dAubagne_empecher_une_interdiction_dexposition_artistique/?tZuMJhb

Je redis à quel point cette décision aberrante et injustifiable de la mairie d’Aubagne m’attriste et me révolte. Il faut en effet imaginer qu’avec ce genre de mesures, des artistes comme Françis Bacon ou Paul Rebeyrolle n’auraient bien évidemment pas droit de cité dans une ville comme Aubagne.

Mon travail dénonce les massacres perpétrés dans le monde. Je n’ai jamais entendu jusqu’à ce jour le mot « pornographique » pour le désigner. Pour moi, la mairie d’Aubagne – qui a fait le choix de la censure – a pris la position de l’ignorance. Ils ont jugé sans savoir, sans chercher à comprendre. Mon travail représente une cause humanitaire. Il montre la partie sombre du monde : froid, cruel, injuste ou le faible est au service du fort, ou les pauvres n’ont jamais la parole, ou les femmes sont reléguées à l’état d’objet, ou le pouvoir prédomine. Je n’ai jamais cherché à exhiber l’horreur pour l’horreur, je suis cependant conscient que mon œuvre peut déranger, interpeller. Je ne travaille pas sur des sujets faciles et je ne recherche pas l’esthétique au sens conventionnel du terme. En 2014 j’ai été invité par la commissaire d’exposition du SIAC de Marseille à présenter mon travail dans des conteneurs industriels. Plus de 10 000 personnes se sont retrouvées face à mes machines sans que cela pose problème. J’ai eu la visite de famille où les parents expliquaient à leurs enfants la démarche artistique, le sens des œuvres, etc. certaines familles faisaient le choix de passer leur chemin, il me semble que c’est aussi ça le libre arbitre ? Cette censure est dénuée de bon sens et que la municipalité se défende en prétendant vouloir protéger les enfants est encore plus absurde. À moins qu’elle veuille les défendre en les protégeant du risque que peut avoir le fait de se cultiver artistiquement, c’est tellement mieux de les mettre devant des jeux vidéos ultras violents ou les héros détruisent à coup de grenades des humains en les faisant exploser… ( à quand l’interdiction des jeux vidéos sur la commune d’Aubagne ?) j’ai été invité en 2013 au Forum Social Mondial de Tunis pour faire une conférence sur mon travail. J’ai pu ainsi m’exprimer en tant qu’artiste plasticien et débattre sur le thème de la souffrance humaine dans le monde, j’ai longuement discouru sur le combat que je mène au travers de mon art. Mes machines ont été présentées à un large public du monde arabe qui a félicité mon implication artistique.
Le festival International d’art singulier d’Aubagne était un grand festival, reconnu pour sa qualité, l’équipe qui œuvrait aux commandes de Danielle Jacqui était une équipe impliquée qui cherchait à exposer la qualité émotionnelle des œuvres et leurs messages intrinsèques. La municipalité aurait sans doute préféré une exposition de champs de lavande… Depuis tout temps il y a eu des censures, certaines légitimes d’autres non. Des êtres humains ont donné leur vie pour la liberté d’expression, nous vivons dans un pays culturellement riche. La diversité fait partie de cette culture. Qu’une mairie décide qui doit faire partie ( ou non) d’un festival ne reflète pas vraiment cette notion de liberté culturelle. J’ai la sensation – très personnelle – que le problème est plus politique qu’artistique et cela est attristant. Jusqu’à présent je dénonçais principalement les souffrances et les injustices qui se produisaient dans des pays tels que la Syrie, etc. ou le pouvoir asservissait en maître le peuple opprimé. De par cette censure, la municipalité d’Aubagne fait elle aussi état de son pouvoir pour tenter d’asservir les artistes, c’est inadmissible. DEMIN Artiste Plasticien

Une critique exclusivement artistique sur ma machine à accoucher : une oeuvre laide sur la forme et bête sur le fond. L’artiste aurait-il un problème avec sa mère ? Après quelques années de psychanalyse il accoucherait peut-être d’une oeuvre plus réussie…

j’apporte mon soutien a marie morel et denin

gustave courbet 20 juin 1866

L’érotisme dans ma peinture par Marie Morel

L’ensemble de mon travail de peintre est comme une grande réflexion sur la vie. Composé par des peintures sur des pensées, des émotions, des contemplations, des bonheurs, des amours, des chagrins, des révoltes, des engagements, des manifestes et de l’érotisme.

L’érotisme est un sujet important dans la vie. Tout être vivant est envahi d’érotisme, les femmes et les hommes, mais aussi les animaux, les plantes… Notre venue sur terre est reliée à un acte naturel d’amour.
Ce sujet est si vaste et passionnant, quelle diversité chez chacun de nous ! Toutes ces sensations, ces émotions, ces jeux, ces délires, ces bonheurs, ces souffrances, cette liberté, cette intimité, ce don de soi, ces partages, etc.

Je peins tout cela, sans tabou, simplement. Je dis, je raconte les choses que je vois, que je sens, je l’espère sans vulgarité, avec beaucoup de respect pour chaque sujet traité.
Des baisers, des amours, de l’accouplement, des fantasmes, de l’homosexualité, du bondage, des jeux érotiques, de la sexualité chez les personnes très âgées, de la sodomie, du S.M, etc.

Malheureusement je remarque que les œuvres érotiques sont de plus en plus censurées dans les lieux d’expositions. Les organisateurs ont souvent peur : vigilance excessive de notre société ; on reviens à un monde où nos libertés sont de plus en plus encadrées.

Cette censure me peine beaucoup car elle ampute mes expositions d’un élément important de mon travail de peintre.

Si nous, les artistes, ne pouvons plus montrer d’œuvres érotiques, que deviendront les grands chants d’amour de notre époque ? Circulent librement beaucoup d’images pornographiques qui ne donnent pas la même vision de l’amour et de l’érotisme que l’œuvre d’un artiste.

Pourquoi, dès qu’un sexe est peint sur une toile, certains crient-ils au scandale ?

Observer les gens et leur réactions devant une peinture permet en fait de les découvrir eux, de cerner leur caractère et leurs sensations. La peinture, elle, ne change jamais, elle est là unique, toujours la même, mais chaque personne qui la regarde, la voit et la juge différemment. La personne qui regarde l’œuvre a ses propres émotions, son propre ressenti, et c’est elle qui crée ce qu’elle voit en fonction de ce qu’elle est.

Je remarque que la personne qui est choqué devant l’œuvre érotique est en fait comme devant un miroir qui lui renvoi l’image de ce qu’elle est, avec ses blocages et sa pudibonderie propre.
Certaines personnes sont mal à l’aise devant la sexualité, pleines de tabous, sans liberté personnelle, cadrées dans des dogmes religieux ou familiaux, pleines de complexes et d’inhibitions, que sais-je encore…
Il faut une ouverture d’esprit pour entrer dans une peinture intime.

Bien sûr, on peux ne pas aimer une œuvre, cela est autre chose, et propre à chacun.
Mais refuser, et dénoncer un travail uniquement parce qu’il parle d’érotisme est dramatique ; et qu’une société replonge à nouveau, petit à petit, dans cela, est dangereux pour nous tous. Il est encore temps je l’espère de réagir et de garder notre liberté d’expression.

Bien évidemment mon travail sur l’érotisme continuera dans l’atelier malgré toute censure, mais je remercie les commissaires d’expositions et les responsables d’institutions * qui ont le courage actuellement de montrer ces peintures.

Marie Morel

* Merci à La Compagnie d’Art singulier en Méditerranée.

Je comprends les artistes,et je trouve cela dommage de priver des gens d une expo parce que ce n est pas du gout de l elu, je suis navree de cette situation,mais quel dommage!!!

C’est par ces œuvres que les humains peuvent apprendre à aimer véritablement et à se poser des questions essentielles.

Marie Morel:
“Des baisers, des amours, de l’accouplement, des fantasmes, de l’homosexualité, du bondage, des jeux érotiques, de la sexualité chez les personnes très âgées, de la sodomie, du S.M, etc.”
Allez plus loin, madame Morel que signifie “etc….”. il manque en effet quelques perversions sexuelles qui sont encore un peu trop tabou, comme la pédophilie et le viol par exemple, mais vous êtes assez fine pour ne pas vous risquer là dedans. Ne vous inquiétez pas l’élite qui nous gouverne va bientôt légaliser tout ça, et vous pourrez agrémenter vos jolis tableaux de quelques scénettes bien dégueulasses.
Je suis un peu crue mais c’est à peu près cela qui se passe, à force de laisser toute liberté à chacun, les déviances deviennent la norme.

Demin; “ma machine a pour but de dénoncer l’absence du droit à l’avortement dans des pays où des femmes sont violées. C’est très hypocrite de se prétendre choqué par des oeuvres, et à côté de ne pas l’être par la réalité.”
Monsieur Demin,
Parlons de ce fameux “droit à l’avortement” ,c’est aussi très hypocrite d’omettre qu’un avortement est un meurtre d’enfant, droit au meurtre, donc!
est ce ce “droit de tuer” qui devrait etre mis en cause ou le fait que des hommes violent des femmes et cela partout dans le monde ?
C’est ce retour à la bestialité de l’être humain qui devrait nous poser à tous problème.
D’un coté des hommes qui violent des femmes (peut être ont ils vu trop d’oeuvres pornographiques, étant donné la banalisation)
d’un autre côté des femmes qui tuent leur propre enfant (220 000 avortements par an en France, réfléchissez y!!)

L’art est là pour nous élever , nous grandir, nous rendre moins bêtes aussi.
Alors que revive la beauté dans l’art, afin que les hommes soient moins esclaves de leurs pulsions.

la liberté d’expression et un acte de droit et de vie de chacun, la censurer démontre ou on en est arrivé aujourd’hui a une telle étroitesse d’esprit, la prise en otage par des élus qui voudraient nous ramener a l’inquisition et nous obliger a vivre leurs idées ou leur propos déplacés. Vive le corps la plus belle expression de nous même nu et dans tous nos ébats les plus chauds. J’osé Spéré abat la censure des frustrés du cul et de leurs idées de con (UMPO, Catho et Le peno)

Copie de texte pour la défense de Jérome galvin, et suite à mon premier commentaire.

Bonjour Monsieur Gustave Courbet,

Vous nous avez quittés déjà depuis bien longtemps,
mais je viens vous donner des nouvelles de notre monde.
L’ “Origine du monde”, vous vous souvenez?
Votre tableau refusé, conspué, mis au banc de l’infamie, traité de pornographique,
pour au final être admiré, respecté, et faisant aujourd’hui référence dans l’histoire de l’Art Moderne.
Et bien aujourd’hui encore de jeunes artistes font encore les frais de ces jugements non artistiques, mais moralisateurs “bien pensants” de petits chefs sans culture, mais élus du peuple, et à ce titre se donnant le droit de juger à notre place de ce qui est déplacé ou non.
Une mairie ouverte et avisée commande une oeuvre à Jérome Galvin, à Moustiers Sainte Marie pour son Musée de faïence blanche décorée et célèbre pour ses “grotesques” , entre temps la mairie change de main, et trouve que l’oeuvre ne convient pas à la bienséance…
L’oeuvre réalisée et installée sera recouverte entièrement le 27 juin 2014 par un contre plaqué, la veille du vernissage, sans en informer l’auteur.
Et bien que celui-ci accepta de parer d’une feuille de vigne (apprécions son humour) les organes visibles incriminés, la censure reste intraitable, cachons ce…sein que l’ont ne saurait voir !
La justification en sera les” petits enfants”, qui seront sûrement outrés de voir ainsi les attributs masculins, au cas où ils seraient des anges, et enfin les “personnes âgées” qui bien sûr ne pourront qu’être choquées de cette réalité dont la censure décide de les exclure comme de pauvres choses sans passé, sans présent et sans avenir;
Moi qui doit faire partie de ces ” personnes âgées” (63 ans), je ne reconnait à personne le droit de décider pour moi si une représentation d’un sexe masculin ou féminin est une ignominie, une outrance, un scandale …ou un bon souvenir, il faudrait peut-être commencer à respecter les gens quel que soit leur âge, non mais!
Monsieur Courbet, vous me manquez cruellement en ce moment de grand délire, comme j’aimerai vous écouter me dire la beauté des choses, et comment vous avez fait de nos simples corps une merveille autant dans sa symbolique que dans sa beauté plastique.
Si la censure faite aux artistes paraît dérisoire au vu de celle faites aux journalistes, aux dissidents
dont la vie même est en danger , je crois qu’il faut au s’inquiéter lorsqu’elle atteint ceux dont la raison d’être est d’enchanter le monde.
J’ai entendu parler d’un pays où l’on avait interdit le chant des oiseaux…
Monsieur Courbet,
même si vous nous avez quittés déjà depuis bien longtemps,
votre place est toujours auprès de nous.

Fait à Marsanne le 3 juillet 2014

Christine fabre

Membre de l’académie Internationale de Céramique

Membre de l’ADAGP (droits d’auteurs des arts graphiques et plastiques)

choqués par ces oeuvres?! ces messieurs-dames les censeurs ne sortent jamais de leur petite mairie?!
l y a en ce moment au grand musée d’Orsay,des oeuvres fortes d’Artistes de toutes époques sur le thème du “marquis de Sade” autrement plus dérangeantes que ces deux oeuvres injustement censurées!
La vocation première de l’Art est de montrer le beau mais aussi de questionner! parfois en provoquant des débats houleux! il est possible de faire une salle d’expo à part accessible au plus de 16ans ou 18ans! c’est pas difficile à organiser! pitoyable!