Rue d’Aubagne, une commémoration six mois plus tard pour repousser l’indifférence
Plusieurs associations et collectifs ont organisé ce dimanche un hommage aux victimes de l'effondrement de deux immeubles rue d'Aubagne, six mois après le drame.
Hommage aux victimes de la rue d'Aubagne le 5 mai 2019.
Jean-Marie Leforestier
Journaliste | jm.leforestier@marsactu.fr
Commentaires
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Et voilà , comme le soulignait il y a peu de temps l’un de nos zéro de la mairie , l’effet KISSKOOL est en train de jouer.
Le temps passe et fait son effet et la justice avec par sa lenteur chronique n’arrange rien. Nous sommes partis pour au moins une décennie.
J’ai vu hier soir aux actualités régionales le père RUAS , véritable publicité vivante pour le gel pour cheveux et pour les costumes de la “Belle Jardinière , se doter de son plus fameux regard de cocker pour évoquer la rue d’Aubagne. Honteux.
Monsieur “ON” vient encore une fois de frapper , personne ne sait, personne n’est au courant ,personne n’est responsable de rien,
Combien de morts : Huit.
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Bonjour, petite coquille en début d’article : “elle y est entrée le 5 mai” plutôt le 5 novembre.
Quand au fond, que dire, sinon qu’on l’a touché depuis bien longtemps ?
Quelle tristesse… Justice sera-t-elle rendue un jour ?
Gaudin rendra-t-il des comptes avant de rejoindre son créateur ? Ou, plus exactement, avant de prendre la place en enfer qu’il mériterait au moins huit fois, si seulement son dieu existait ? Il est vrai que les taudis de la rue d’aubagne ne pouvaient se prévaloir d’une quelconque aura de sainteté… Surtout quand on sait les largesses de la municipalité envers tout ce qui, de près ou de loin, est en lien avec les bondieuseries dont ce cher jean-clooooode est friand. Pas sûr que cela ne sauve ton âme, Jean-Claude, car tu sais, au fond de toi, que tu as pêché….
Les huit morts sont au fond de la tombe, et ils te regardent…
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