Les dossiers chauds du conseil municipal du 1er avril 2019

Décryptage
le 1 Avr 2019
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A un an des élections, le conseil municipal prend de plus en plus des airs d’échauffements d’affrontements politiques. Les sujets comme le budget ou l’audit des écoles voulus par la Ville devraient donner lieu à des débats nourris.

Les dossiers chauds du conseil municipal du 1er avril 2019
Les dossiers chauds du conseil municipal du 1er avril 2019

Les dossiers chauds du conseil municipal du 1er avril 2019

Faute de nouveaux projets d’envergure présentés lors de ce conseil municipal, les échanges promettent de prendre une nouvelle fois une tournure pré-électorale. À un an des élections municipales, chaque parti se met en ordre de marche. En début d’année, LREM a formé une “team Marseille” pour préparer cette échéance avec, parmi les objectifs, celui de “porter un avis sur l’ordre du jour”. Les diverses tendances de la gauche et l’extrême-droite ont aussi l’occasion de faire entendre leurs différences. Le débat sera structuré par le vote du budget mais les enjeux autour de l’habitat indigne et des écoles devraient à nouveau occuper l’espace. Les échanges promettent aussi d’être nourris par la fin de la ...
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Commentaires

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  1. Minot15 Minot15

    Bonjour,
    Je pense que vous faites erreur sur le transfert des pouvoirs de police en matière d’habitat : le maire restera bien le détenteur de ceux ci. Je ne connais pas le contenu du rapport, mais il est certainement relatif aux moyens humains/techniques déployés pour la mise en œuvre de cette réglementation.
    Bien cordialement,
    M_15

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  2. Electeur du 8e © Electeur du 8e ©

    Tout à sa vocation de “défenseur inlassable du bilan de Jean-Claude Gaudin” (c’est lui qui le dit : il défend donc aussi le passif, puisque dans tout bilan il y en a un), M. Moraine ne voit rien d’autre que des “procès politiques” chaque fois qu’on lui montre une ornière dans une rue ou un faux-plafond qui s’effondre dans une salle d’une école municipale.

    Il est grand temps qu’il revienne à la vie réelle et s’aperçoive que la ville de Marseille n’est plus gérée depuis longtemps. Ca, ce n’est pas lui qui le dit, mais Les Echos, feuille gauchiste bien connue du patronat (https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/marseille-a-la-derive-963887). Etant entendu que “gérer”, ce n’est pas seulement faire, à l’ancienne, de grands discours et des bons mots politiciens entre deux dégustations de chocolats.

    En 2020, offrons-lui des vacances : il aura enfin l’occasion de visiter Marseille à hauteur de citoyen lambda.

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  3. Minot15 Minot15

    Re!
    A propos de l’éclairage public, ce n’est pas lié à la loi MAPAM… c’est bien plus ancien. L’éclairage aurait dû être transféré dès 2001 (!) : la voirie était déjà une compétence de droit des communautés urbaines, la loi n’a pas changé cela en 2014. C’est le juge administratif qui est venu rappeler par plusieurs décisions depuis 2001, dont au moins ne concernant l’ex CUM, que l’éclairage public était un accessoire de voirie lorsqu’il était indissociable ou indispensable à celle ci… la convention va permettre provisoirement à la Métropole de confier l’exercice de la compétence sous sa responsabilité et en son nom à la ville : cette dernière devra ainsi assumer la continuité des missions.
    La situation pourrait évoluer, certes, mais en faisant ce rappel à la loi après 18 ans de fonctionnement sans critiques et moins de 12 moins avant la date prévue pour le transfert de la voirie par les autres communes de la Métropole, l’Etat n’envoie t-il justement pas un certain signe ?
    M_15

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  4. Lecteur Electeur Lecteur Electeur

    Petit détail à propos de l’éclairage métropolitain qui est à l’ordre du jour : il est 9 h 20 et cet éclairage public est encore allumé dans mon quartier. Les services compétents pourrait-il mettre leur pendule à l’heure d’été puisque celle-ci existe toujours ? Cela permettrait une petite économie.

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  5. PromeneurIndigné PromeneurIndigné

    . Pendant la vingtaine d’années à venir, au minimum, le budget des collectivités territoriales des Bouches-du-Rhône doit être consacré impérativement aux priorités suivantes : éducation, transports en commun, santé publique et habitat social. Fini les fantaisies telles que projet de téléphérique vers Notre-Dame de la garde, ou auparavant le grand stade de l’OM, la patinoire, le tramway doublon du métro, le paquebot du Conseil départemental, la villa Méditerranée, où les « requalifications » comme celle de la Plaine etc. Quant aux balthazars que nos décideurs, organisent pour un oui ou pour un non, leur menu sera limité, à l’eau de Marseille, au rouge ou au rosé, aux chips, au café thé et biscuits. Actuellement entre la Métropole, la ville de Marseille, le département des Bouches-du-Rhône, c’est à qui va se refiler la patate chaude. Bien sûr l’imprévoyant Jean-Claude Gaudin, farouche défenseur des libertés locales, ne manquera pas de tendre la main, une fois encore, avec une détermination sans faille pour demander à l’État de financer des dépenses imprévues, mais parfaitement prévisibles. C’est ce qui fait tout le charme de la décentralisation, pour quelques centaines d’élus béni-oui-oui, qui sont bien loin des préoccupations des citoyens, tandis l’argent sort toujours de la même poche : celle de ces derniers

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  6. Vincent Squale Vert Vincent Squale Vert

    Concernant la ligne pour les travaux d’office, ne pas oublier la dotation donnée par l’état et non utilisé…. Mais certainement davantage ailleurs avec la fongibilite des fonds…. Et en plus la commune peut récupérer en plus 50% des travaux éligibles à l’anah en plus de récupérer les montants engagés auprès des propriétaires défaillants….

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