Le préfet Leclerc quitte Marseille et devrait devenir directeur de cabinet du chef de l’État
Le conseil des ministres de ce mercredi 29 octobre a validé le départ de Georges-François Leclerc. Il quitte ses fonctions de préfet de région Provence-Alpes-Côte d'Azur et devrait prendre la direction du cabinet du président de la République.
Le préfet de région, Georges François Leclerc. (Photo : BG)
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Il aurait mieux été nommé Préfet Panzer…
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Après l’expulsion des Roms de Saint Jean du Désert, le voici donc chargé d’ éviter l’expulsion des locataires du 55, rue du Faubourg Saint-Honoré.
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Il s’agit là aussi de voleurs de poules….
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Ce monsieur a, en quelques mois, dans le cadre de ses fonctions, bouleversé la vie de plusieurs personnes. Y a t-il moyen de réparer ou revenir sur certaines de ses décisions/actions ?
Ce préfet si politique, clairement très à droite, est nommé directeur de cabinet du président Macron. Qu’en déduire ?…
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Cette valse des préfets dans notre région est un peu bizarre.
La région PACA est certes compliquée..
On note qu’elle est un tremplin pour accéder à des fonctions ministérielles voire plus.
Par ailleurs certaines de ses décisions étaient malvenues, et malveillantes on ne le regrettera pas.
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Son départ est une bonne nouvelle. Il a fait suffisamment de dégâts en peu de temps alors que ce n’est pas un élu de la République et qu’il a outrepassé ses fonctions.
Mais il n’aura pas le temps de sévir bien longtemps auprès du Président de la République car il ne serait pas étonnant qu’on assiste à sa démission dans les prochains mois.
Bon débarras !
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Un préfet “très politique” alors qu’il n’avait aucun mandat politique, plus doué pour les décisions “prises en solo” que pour la concertation avec les acteurs de terrain : l’archétype de l’énarque qui sait tout sur tout mieux que tout le monde. Pour être capable de “prendre des moyens à la lutte contre le narcotrafic pour les mettre sur l’immigration”, il faut vraiment être hors sol.
Bon débarras, certes, mais la valse des représentants
de l’Etat dans ce territoire compliqué est préoccupante : si les hauts fonctionnaires ne viennent ici que pour booster leur carrière en quelques mois, c’est du mépris pour les bouseux du sud.
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