Rejet en mer : Alteo se dit “dans une impasse technique” pour limiter certains polluants
Ce vendredi, l'industriel a plaidé l'impossibilité technique pour appliquer la décision de justice qui lui impose de réduire les rejets de certains polluants avant fin 2019. Du bluff pour repousser une fois de plus les échéances, ont défendu de leur côté les associations de protection de l'environnement.
C'est dans le parc national des calanques que les daurades royales se reproduisent.
Commentaires
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Le truc c’est que l’usine devait fermer, ce qu’elle fabrique serait importé de Grèce ou de pays encore moins regardants avec la pollution, avec des usines utilisant les mêmes procédés, ou pire, crachant leurs scories en Méditerranée et ailleurs.
On pourrait alors se satisfaire d’une meilleure qualité de l’eau localement, mais on aura, une fois de plus, délocalisé la pollution chez des plus pauvres que nous.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Pas faux, mais en même temps, si on délimite des parcs naturels, c’est pour préserver ces espaces en priorité…
Se connecter pour écrire un commentaire.
Laisser polluer chez nous ne resoudra en rien la pollution des autres pays.
Au contraire, les batailles que nous pouvons mener en France peuvent servir de point d appui pour d autres, ailleurs.
Et les associations qui se battent ici, mènent des actions internationales aussi.
Les methodes de ce groupe industriels sont à denoncer, comme le fait cet article et ces associations.
Le chantage à l emploi est tout simplement degueulasse.
Ils licencient bien quand ça les arrange,
Se connecter pour écrire un commentaire.
Les associations environnementales se battent pour qu’Alteo pollue moins, c’est normal et vertueux.
En revanche, que dire de ceux qui affirment haut et fort que leur objectif unique est la fermeture de l’usine. Dans ce cas, on est bien dans la politique du “Not in my backyard”.
Ceux là veulent bien utiliser smartphone, télévision, ordinateur, voiture… mais que les pollutions induites soient loin de chez eux…
Se connecter pour écrire un commentaire.