Qu’il s’agisse de grandes copropriétés à l’abandon ou des vieux immeubles du centre-ville, l’habitat insalubre est une réalité partagée par beaucoup de Marseillais. Il peut mener à des drames, comme rue d’Aubagne à Noailles début novembre 2018, où malgré des procédures en cours, des années ont passé entre le constat du péril et l’effondrement de plusieurs immeubles, causant la mort de plusieurs habitants. Selon un rapport publié en 2015, 40 000 logements seraient concernés rien qu’à Marseille. Bien souvent loués pour des prix tout sauf abordables à des publics précaires qui n’ont pas d’autre choix pour avoir un toit.
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