Le conseil départemental rallonge de 50 millions son plan d’aide pour Marseille
“50 briques, c’est quand même pas mal !” Ce lundi, à l’occasion du bilan du plan d’aide de 100 millions d’euros à la ville de Marseille, Jean-Claude Gaudin n’avait que des remerciements pour la présidente du département Martine Vassal. Comme elle l’avait laissé entendre lors du conseil municipal du 25 juin, sa collectivité votera en décembre une rallonge de 50 millions d’euros.
Lancé il y a deux ans, ce “plan pour Marseille” portait principalement sur des opérations de rénovations d’équipements de proximité (écoles, stades, patrimoine). Ainsi, la deuxième école de la deuxième chance ou encore de nombreux édifices cultuels comme l’église des Réformés bénéficient de ces crédits. Le financement est en grande partie consommé, indépendamment de l’avancement des chantiers, qui n’ont pas tous été livrés.
Commentaires
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Et allez c’est parti, la campagne électorale de Martine vient de débuter avec l’argent des contribuables. Le chéquier à la main nous allons faire plaisir à qui mieux mieux, afin de s’attirer les bonnes grâces des électeurs .
A l’allure où cela va, Jean Nono va passer pour un amateur dans l’art du clientélisme.
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Marseille ayant longtemps été mise au régime sec par Jean-Nono, au profit de l’achat de voix de grands électeurs (sic) ruraux, on ne peut que se féliciter du rééquilibrage qui s’est produit. Sans aucune arrière-pensée électorale, ça va de soi.
Mais le fait que le département serve en fait de financeur des communes n’est pas sain : il y a un problème de répartition des ressources quand les communes doivent mendier pendant que le département répartit la manne comme bon lui semble.
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Je suis absolument d’accord avec vous. Il est urgent de mettre fin à cette aberration. Espérons que la fusion entre le département et la métropole ira dans ce sens.
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Du bon arrosage de son jardin pour récolter de beaux fruits et légumes.
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L’ensemble des communes du département doivent être ravies de ce centrage des crédits sur Marseille.
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Cher 8° , oui bien sûr . Mais n’oubliez pas deux chose; Marseille n’était pas il y a 20 ou 25 ans dans l’état de décrépitude avancée dans lequel elle se trouve actuellement malgré les quelques ravalements de façade. Je ne vais pas d’ailleurs énumérer la longue litanie que nous connaissons tous, cela devient répétitif. Marseille de plus était plutôt à “gauche” à l’époque. Donc Jean Nono , jouait sur du velours. et effectivement “achetait” des parts de marché avec le chéquier des “ruraux”, j’en suis d’accord.
Aujourd’hui , ces derniers sont à droite à part quelques exceptions , je ne vois pas Ventabren, St Rémy , Eygaliéres ou Cassis voter MELANCHON.
Donc Martine factorise par moins 1 la stratégie Guérini et dépense sur Marseille afin de faire , comme au Loto, carton plein.
Marseille vu son poids démographique est la clef du système , mais ne soyons pas aveugles, plus de la moitié de cette ville qui est à l’abandon aujourd’hui , le sera demain aussi .
Que voulez vous un minot des Aygalades ou de Campagne Léveque ne pèse pas bien lourd par rapport à ceux de Lord Duveen ou du boulevard Emile Sicard.
Liberté, Egalité, Fraternité.
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