La métropole acte le retard de livraison de la station Gèze qui ouvrira en décembre 2018
La métropole a fini par communiquer une date pour l’ouverture au public de la station Gèze (15e) qui doit prolonger la ligne de métro 2 un peu plus au nord et qui est attendue depuis trois ans. Dans une publication sur son compte Facebook, la métropole évoque une “mise en service commerciale prévue en décembre 2018”.
Déjà révélé par Marsactu, mais à l’époque démenti formellement par le vice-président aux transports, Jean-Pierre Serrus ce nouveau retard est souligné dans un récent article de La Provence L’élu s’y faisait plus évasif, évoquant une livraison en 2018 après avoir avancé la date de mai à plusieurs reprises. En octobre dernier, il répondait ainsi au conseiller métropolitain d’opposition Stéphane Mari en commission transports : “Il n’est un secret pour personne qu’au mois de mai 2018, la station Gèze serait ouverte”. Il n’est désormais plus un secret qu’elle sera toujours fermée à cette date.
Commentaires
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A défaut de métro “à l’hôpital Nord, à Saint-Loup, à Bonneveine et à Vieille-Chapelle”, tous promis par Gaudin, qui n’avait peur de rien – et en particulier pas des mensonges – lors des municipales de 2014 (https://pbs.twimg.com/media/DZhPLY2X0AA7Tfa.jpg), on pourra au moins inaugurer une nouvelle station avant 2020. Presque un mandat municipal pour un prolongement de 900 m : qui dit mieux ?
Pendant ce temps, Lyon réfléchit à sa cinquième ligne de métro, Toulouse à sa troisième, Rennes construit sa deuxième, etc.
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Et Nice et Avignon développent leur tram etc etc. Tout le monde avance sauf les irréductibles…
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Il s’agit d’un énième scandale Marseillais, le volet transport s’inscrivant dans le volet plu large de la rencontre de l’incurie et de l’incompétence. De manière plus pragmatique il est nécessaire que la métropole donne des explications rigoureuses sur les causes et responsabilité de ce retard afin de prévenir leur répétition, et le cas échéant venir chercher la responsabilité contractuelle de l’entité en cause s’il s’agit d’un défaut dans l’exécution des travaux.
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