Avec l’école CinéFabrique et la Cinémathèque, Marseille se voit encore sur grand écran
Après l'échec de la Cité régionale et méditerranéenne du cinéma au Dock des Suds, l'école CinéFabrique et la Cinémathèque verront le jour dans des locaux distincts, à la Belle de Mai et à Bougainville. Visite des deux chantiers, toujours d'actualité, malgré une sérieuse cure d'amaigrissement.
Le CNC et La Plateforme ont fait visiter, ce 8 octobre, le chantier de l'antenne marseillaise de la Cinémathèque française. (Photo : QM)
Quentin Mallet
Commentaires
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Le cinéma l’Alhambra n’est pas à Saint-André mais à Saint-Henri ; bon, c’est toujours le 16ème !
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A toute chose, malheur est peut-être bon. Monsieur Muselier a choisi les paillettes éphémères du grand cirque blanc (si les canons à neige fonctionnent correctement) à l’édification pérenne d’une structure culturelle globale dans un lieu culturel mythique. Cette éminente figure de la politique politicienne ne pouvait décemment pas faire ce cadeau à une municipalité honnie juste avant les élections. Le bon côté du plan B présenté est que l’éclatement des structures va bénéficier à trois quartiers distincts dont deux en ont bien besoin.
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Arenc avait aussi bien besoin de cette installation au Dock des Suds. Quand je vois que du coup on va construire 3.000 mètres de bureaux et n’avoir qu’un lieu de projections et autres au lieu de deux (puisque ce volet existait déjà dans le programme de La Plateforme), je persiste et signe : l’abandon de ce projet dans un lieu connu de tous est une erreur. Et la Région a un peu bon dos : si la Ville avait vraiment voulu de ce projet à cet endroit il aurait fallu davantage qu’un claquement doigts de Muselier pour faire tout capoter.
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Je vois que le mot “Cazemajou” a été rayé du dictionnaire de la com. Pourtant c’est bien comme ça qu’on appelle cette partie d’Euromed (qui n’est d’ailleurs pas au milieu des tours) où se trouve actuellement le chantier de La Plateforme, le collège jésuite Loyola, un programme de logements et un programme de bureaux en construction.
Quant à la “fluidité” entre les deux sites : la Belle de Mai et Cazemajou, ça c’est encore un coup de quelqu’un qui ne prend pas les transports commun 😄
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Prétexter les JO climaticides à la neige carbonique pour torpiller la Cité du cinéma en un lieu unique à Arenc.
Voilà l’intérêt général vu par Muselier uniquement animé par sa rage contre la municipalité de gauche de Marseille.
De la même façon, il a soutenu le financement d’une troisième patinoire à Nice pour les JO alors que la plus grande de France se situe déjà à…Marseille.
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Oui mais Marseille n’est pas dans les Alpes alors que Nice = Alpes Maritimes
Je reprends les éléments de langage utilisés pour justifier cet équipement !
M’enfin
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