Mes clients s’appellent Diogène (2)

Reportage
le 14 Août 2017
0

Diogène est parfois votre grand-père, votre voisine ou un oncle lointain qui entasse et ne jette rien au point de risquer d'être enseveli sous les déchets. Marsactu vous offre une plongée en trois épisodes à la découverte de ce syndrome qui hante nos rues. Depuis plus de dix ans, Christophe Di Pietro a fait son métier du débarras de l'extrême.

Mes clients s’appellent Diogène (2)
Mes clients s’appellent Diogène (2)

Mes clients s’appellent Diogène (2)

L’odeur vient comme un avertissement. L’immeuble est banal. Une copropriété du centre-ville de Marseille, sans grand luxe, ni marque d’indignité. L’ascenseur est capricieux. Mieux vaut prendre l’escalier pour atteindre les étages les plus hauts. Et c’est là en progressant que l’odeur vient, lancinante. Elle provient de ce 5e étage gauche dont Christophe Di Pietro a la clef. On y pénètre à sa suite. Le long couloir qui distribue les pièces de ce modeste T3 est tellement encombré qu’on y entre difficilement. Des piles. Des tas. Des objets en masse. “Et encore, nous avons fait un premier désencombrement, explique Christophe Di Pietro. Avant, on n’y passait que de profil”. Avec son entreprise ESP Débarras, sise à Marseille, ...
Vous voulez lire la suite ?
Abonnez-vous à Marsactu

Commentaires

L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire