Bras armé de la politique immobilière de la Ville, la Sogima a des crampes sociales
Gestionnaire de près de 7000 logements et 100 000 m² de bureaux, la Sogima prépare un plan de départs volontaires touchant un quart des effectifs. Les syndicats dénoncent la responsabilité des actionnaires, dont la Ville de Marseille, qui a touché 150 millions d'euros en dix ans en lui vendant du patrimoine.
Rassemblement du personnel devant le siège de la Sogima, place du 4 septembre.
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Un vrai cas d’école :
– Gestion contrainte par les choix politiques de la ville.
– Mélange des genre (Promoteur Immobilier / Logeur social)
– Siège flambant neuf malgré les difficultés économiques.
– Jetons de présence bien gratifié.
– Externalisation des services par effet de mode.
– Des représentants du personnel poussé vers la sortie.
…
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Bien sûr, modèle de gestion à la mode : privatisation des services, suppressions d’emplois, dépenses pharaoniques et parachutes dorés pour les les rats qui quittent le navire !
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