Pourquoi la révolte des femmes de chambre fait tache d’huile
Le Blu Radisson est le cinquième hôtel marseillais concerné par une grève des femmes de chambre cette année. En cinq points, Marsactu essaie de comprendre les raisons de cette extension de la lutte.
Une cliente photographie le piquet de grève devant l'hôtel Blu Radisson sur le Vieux-Port. (Photo : B.G.)
Commentaires
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Certains esprits bien-pensants aimeraient mettre un coup de balai sur cette grogne légitime, mais que c’est beau de voir ces femmes soudées et défendre leurs intérêts face aux groupes hôteliers qui brassent des millions,elles qu’on entend jamais et corvéables à merci.
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Merci à Marsactu de suivre ces conflits sociaux et en particulier pour cet article qui donne une vue précise du problème.
Une petite critique sur le titre en forme de question : si on a lu les articles précédent il n’est pas nécessaire de lire celui-ci pour être en mesure de répondre à la question.
Les information sur le syndicat CNT-SO aident à mieux cerner cette organisation méconnue mais efficace sur ce dossier.
La problématique dans le monde du nettoyage des bureaux est assez semblable voir pire avec les horaires décalés et parfois un isolement plus important.
Là aussi une mobilisation (sans doute plus difficile ) pourrait faire avancé les choses.
La sous traitance rime trop souvent avec maltraitance. Autant le principe est utile pour des fonctions technique ne nécessitant pas d’intervention continue, autant dans le cadre de main d’oeuvre importante et peu qualifié cela ne sert qu’a exclure cette main d’oeuvre du reste du personnel avec des objectifs plus ou moins avoué :
– Réduire les coûts fixes
– Échapper à certain seuils comme la barre des 50/300 salariés.
– Exclure de la participation et de l’intéressement si l’entreprise se porte bien.
– Voir une certaine homogénéité du personnel ?
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