Une prof aux Comores… à Marseille
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C’est quand même curieux que le Conseil Général (qui fait les collèges) reprenne à son compte les ségrégations architecturales qu’évoque Mme Lacascade.
Par contre je suis sceptique quant aux différences (religion,télé, fast food, etc…) entre ces jeunes d’ascendance comorienne et leurs camarades des mêmes quartiers.
Pour le reste nous demeurons dans la non adaptation du système éducatif aux modifications de l’immigration survenue depuis 30 ans
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Lucide,tu peux nous en dire un peu plus sur la non adaptation du système éducatif,aux modifications de l’immigration survenue depuis 30 ans.
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@liseron,
Pour faire simple : la solidarité c’est faire plus pour ceux qui en ont moins.
Après c’est une histoire en 10 volumes qui n’a pas sa place ici.
J’espère avoir répondu à votre interrogation mystique.
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Lucide,ta réponse n’est pas que simple,elle est presque pauvre.
Alors plus simplement,c’est quoi faire plus pour ceux qui ont moins…
Moins de quoi?
Ils n’ont pas la santé?
ils n’ont pas de famille?
Ils n’ont pas de patrie?
Ils n’ont pas de Dieu?( ça c’est moins grave il y a le parti socialiste).
Ils n’ont pas de droits sociaux?
ils n’ont pas d’école?
ils n’ont pas de maison?
Ils n’ont pas la sécu?
Ils sont persécutés?
Ils n’ont pas à manger?
Ils n’ont pas de télé?
Ils n’ont pas de portables?
Alors je t’en prie,”Les misérables,ou les romans à la Zola,c’étaient au 19ème siècle”.
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Lucide excusez,moi pour le tutoiement.
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La séparation géographique scindant Marseille en deux a été une terrrible erreur de la droite gouvernementale, à laquelle Defferre, nul sur les questions d’urbanisme, ne s’est jamais opposé.
Ce n’est pas en regroupant massivement tous les problèmes au même endroit qu’on est bien placé pour les résoudre !
Réparties et dispersées un peu partout dans la ville, ces populations se seraient beaucoup mieux intégrées, et les élèves auraient été beaucoup moins dérangeants que quand ils sont en bandes nombreuses.
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