Une prof aux Comores… à Marseille

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le 11 Mai 2011
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A la base, elle avait décidé d’écrire un carnet de voyage – dénomination qui se trouve toujours dans le sous-titre du livre – pour elle. Dépaysée, déboussolée, elle décrit son quotidien de prof de français dans un quartier de Marseille à forte population d’origine comorienne. Elle décide ensuite d’en faire un livre pour faire partager son expérience. Là où l’éducation est un combat. Autant pour les professeurs que pour les élèves. Interview avec Elisée Lacascade, auteur de Quartiers Nord – Comores, Carnet de voyage dans un collège marseillais (Editions L’Harmattan). L’auteur, toujours enseignante, a décidé dans son livre de modifier le nom du quartier, du collège et les prénoms des élèves. En arrivant d’un collège de ...
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Commentaires

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  1. lucide lucide

    C’est quand même curieux que le Conseil Général (qui fait les collèges) reprenne à son compte les ségrégations architecturales qu’évoque Mme Lacascade.
    Par contre je suis sceptique quant aux différences (religion,télé, fast food, etc…) entre ces jeunes d’ascendance comorienne et leurs camarades des mêmes quartiers.
    Pour le reste nous demeurons dans la non adaptation du système éducatif aux modifications de l’immigration survenue depuis 30 ans

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  2. liseron duveteux liseron duveteux

    Lucide,tu peux nous en dire un peu plus sur la non adaptation du système éducatif,aux modifications de l’immigration survenue depuis 30 ans.

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  3. lucide lucide

    @liseron,
    Pour faire simple : la solidarité c’est faire plus pour ceux qui en ont moins.
    Après c’est une histoire en 10 volumes qui n’a pas sa place ici.
    J’espère avoir répondu à votre interrogation mystique.

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  4. liseron duveteux liseron duveteux

    Lucide,ta réponse n’est pas que simple,elle est presque pauvre.
    Alors plus simplement,c’est quoi faire plus pour ceux qui ont moins…
    Moins de quoi?
    Ils n’ont pas la santé?
    ils n’ont pas de famille?
    Ils n’ont pas de patrie?
    Ils n’ont pas de Dieu?( ça c’est moins grave il y a le parti socialiste).
    Ils n’ont pas de droits sociaux?
    ils n’ont pas d’école?
    ils n’ont pas de maison?
    Ils n’ont pas la sécu?
    Ils sont persécutés?
    Ils n’ont pas à manger?
    Ils n’ont pas de télé?
    Ils n’ont pas de portables?

    Alors je t’en prie,”Les misérables,ou les romans à la Zola,c’étaient au 19ème siècle”.

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  5. liseron duveteux liseron duveteux

    Lucide excusez,moi pour le tutoiement.

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  6. Marius Marius

    La séparation géographique scindant Marseille en deux a été une terrrible erreur de la droite gouvernementale, à laquelle Defferre, nul sur les questions d’urbanisme, ne s’est jamais opposé.

    Ce n’est pas en regroupant massivement tous les problèmes au même endroit qu’on est bien placé pour les résoudre !

    Réparties et dispersées un peu partout dans la ville, ces populations se seraient beaucoup mieux intégrées, et les élèves auraient été beaucoup moins dérangeants que quand ils sont en bandes nombreuses.

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