Philippe Caubère aime les asticots, Pagnol, Marsiho, et la révolution. Un marseillais, quoi.
Ils sont là tous les deux, au milieu d’une petite arène à « l’ombre chaude » de la Major, et d’ un chapeau de paille . Le soleil est au zénith. Lui est « barreras », dans les gradins...