Soupçonné de viols, le maire de La Penne-sur-Huveaune ne retourne pas en prison

Actualité
le 20 Fév 2025
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La justice confirme la sortie de détention provisoire de Nicolas Bazzucchi. Le maire de La Penne-sur-Huveaune est mis en cause par trois ex-compagnes pour viols et violences conjugales.

Nicolas Bazzuchi avec ses conseils Julia Minkowski et Jérôme Gay, le 20 février 2025. (Photo : CMB)
Nicolas Bazzuchi avec ses conseils Julia Minkowski et Jérôme Gay, le 20 février 2025. (Photo : CMB)

Nicolas Bazzuchi avec ses conseils Julia Minkowski et Jérôme Gay, le 20 février 2025. (Photo : CMB)

Nicolas Bazzucchi, maire de La Penne-sur-Huveaune, ne retournera pas en détention provisoire. L’élu de 29 ans a passé deux mois en prison, après sa mise en examen le 18 décembre dernier pour viols et violences conjugales sur trois anciennes compagnes. Le 11 février, le juge d’instruction a décidé de sa libération après l’avoir entendu lors d’un interrogatoire. Mais cette décision a été frappée d’appel par le parquet de Marseille. Ce qui a entraîné une nouvelle audience ce jeudi 20 février pour examiner la demande. Et faire un point d’étape sur cette affaire hors norme. Pour la première fois depuis le début de l’enquête, c’est donc libre que Nicolas Bazzucchi s’est rendu à une convocation judiciaire. Devant la cour ...
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Commentaires

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  1. polipola polipola

    Il a commencé des soins depuis une semaine ? Oh ben alors il est guéri c’est sûr.

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  2. RML RML

    C’est n’importe quoi! C’est évident qu’il va y avoir des intimidations…

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  3. julijo julijo

    il s’est entouré d’un équipe d’avocats très intéressante.
    j’espère que c’est lui qui paye !

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  4. Electeur du 8e © Electeur du 8e ©

    Dans les affaires de violences sexuelles, dans notre pays, les victimes ont toujours le mauvais rôle, et l’avocat qui se permet de dénoncer “le problème en France du post #MeToo” (sic) montre bien où il veut en venir : il suit les traces de ses confrères ou consoeurs du procès de Mazan qui, contre les preuves, voulaient absolument démontrer la responsabilité de la victime. C’est à gerber. Mais ce procédé est, heureusement, de moins en moins efficace.

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