[Marseille 1983 : retour vers le Futé] Radio Ga Ga

Série
par Timothée Vinchon & Sophie Bourlet
le 14 Juil 2023
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Installés ici depuis peu, Sophie Bourlet et Timothée Vinchon le savent : ils sont ce que beaucoup appellent "des néos". Bien décidés à se défaire de ce statut, mais à leur façon, ils ont mis la main sur un guide local du Petit Futé vieux de quarante ans. Tout au long de l'été, ils embarquent Marsactu dans leur exploration du Marseille des années 80.

Le guide de 1983 évoque la disparue "Radio Provisoire", devenue Radio Galère. (Illustration : Sophie Bourlet)
Le guide de 1983 évoque la disparue "Radio Provisoire", devenue Radio Galère. (Illustration : Sophie Bourlet)

Le guide de 1983 évoque la disparue "Radio Provisoire", devenue Radio Galère. (Illustration : Sophie Bourlet)

“Vous pensez bien connaître votre ville ?… En fait, il y a tout un côté que vous méconnaissez peut-être. Le plus drôle, le plus tendre, le plus intéressant : le côté futé. C’est tout cet aspect que le Petit Futé vous propose de découvrir à travers des adresses et des renseignements. Vous doutez ? Tiens, […]
10 ans d'indépendance
UNE FIERTÉ, UNE FÊTE
UN COMBAT
Timothée Vinchon
Ancien correspondant de presse en Tunisie, Timothée Vinchon est journaliste et membre du collectif Presse-Papiers. Il est très impliqué dans des projets d'éducation aux médias et a créé la newsletter Rembobine, qui mesure l'impact d'enquêtes un an après leur publication.
Sophie Bourlet
Journaliste indépendante basée à Marseille, Sophie illustre et écrit les histoires qu'elle entend, surtout si elles viennent de Méditerranée. Elle fait partie du collectif Presse-Papiers.

Commentaires

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  1. Bernard LAMIZET Bernard LAMIZET

    1983-1986 : La grande année des “radios libres”. Pour ma part, à l’école de journalisme de Marseille, qu’on appelait alors le CTMC, au Pharo, un de mes étudiants m’avait fait rencontrer Henry Richert, qui avait fondé Radio-Utopie, et qui l’animait. Son siège se situait rue Hoche, à la Belle-de-Mai. Et, après, tous les samedis, je proposais, avec Henry, une sorte de journal comenté de l’information et des événements qui se déroulaient à Marseille et ailleurs. C’était une période où informer, c’était aussi militer – pour le droit à une information libre et engagée, pour une information débarrassée des contraintes des grands groupes.

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  2. Bernard LAMIZET Bernard LAMIZET

    1983-1986 : La grande année des “radios libres”. Pour ma part, à l’école de journalisme de Marseille, qu’on appelait alors le CTMC, au Pharo, un de mes étudiants m’avait fait rencontrer Henry Richert, qui avait fondé Radio-Utopie, et qui l’animait. Son siège se situait rue Hoche, à la Belle-de-Mai. Et, après, tous les samedis, je proposais, avec Henry, une sorte de journal commenté de l’information et des événements qui se déroulaient à Marseille et ailleurs. C’était une période où informer, c’était aussi militer – pour le droit à une information libre et engagée, pour une information débarrassée des contraintes des grands groupes.

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