Le destin tragique de Reda, victime de la rue d’Aubagne et sans-papiers en voie d’expulsion
Reda M. a vécu au 65 rue d'Aubagne jusqu'au jour du drame. Reconnu victime au procès des effondrements, ce sans-papiers tunisien se retrouve enfermé au centre de rétention du Canet, après un banal contrôle d'identité. Marsactu l'a rencontré.
Le centre de rétention du Canet, dans le 14e arrondissement de Marseille. (Photo : QG)
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Merci le RN et Retailleau! Quand je pense que tous ces gens là te parlent de chrétienté et des valeurs de la France…
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La misère détruit ces clandestins qui n’ont comme seul refuge que le tabac et l’alcool alors que nous aurions besoin des ouvriers du bâtiment. Retailleau – Macron même combat !
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Clairement, acharnement scélérat des services de police …
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