La concertation publique à Marseille ? "C'est difficile…"

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le 23 Fév 2011
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Projets de transports en commun, comme le bus à haut niveau de service de Bougainville à Saint Antoine, d’aménagement urbain, comme le futur parc Saint-Charles et plus largement le plan local d’urbanisme, et bien sûr parc national des Calanques : autant d’exemples de concertation publique qui connaissent des fortunes diverses. Dernier exemple en date : la réunion publique d’Euromed sur le parc Saint-Charles, qui a tourné au pugilat la semaine dernière. Une procédure de participation des citoyens qui faisait l’objet d’une conférence organisée mardi soir par l’association « Un centre ville pour tous » à la Cité des Associations. Le point avec Laurent Belicki, directeur de l’Association régionale de développement local.

Un lien Bus à haut niveau de service : dernier débat avant le démarrage, sur Marsactu

Un lien Qui gèrera le futur parc Saint-Charles, sur Marsactu

Un lien PLU, Scot, PADD : où va la métropole marseillaise ?, sur Marsactu

Un lien Une loi contre les empêcheurs de bétonner en rond ?, sur Marsactu

Un lien Le site de l’association Un centre ville pour tous

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Commentaires

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  1. Ozz Ozz

    La concertation c’est bien. Mais si on disait amen à toutes les réclamations des marseillais, on vivrai encore dans des huttes en chaume.

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  2. yvettedu13 yvettedu13

    Trop de concertation tue la concertation. Il est nécessaire d”ecouter les demandes mais les élus ont la légitimité démocratique pour trancher sinon la frontière avec la démagogie est mince.

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  3. Charline Charline

    L’intérêt général n’est pas la somme des interets particuliers… Attention! Ozz a raison, si on devait écouter tout le monde, pour faire plaisir a chacun, ben la ville serait bien triste… Car il ne faudrait plus faire de bruit sur le vieux port, plus de concerts et autres festivités sur les plages du prado… A mince!!! Mais c’est le cas dis donc!!! Oups!!!

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  4. Gérard Gérard

    totalement en phase avec les 3 commentaires précédents : Charline, Yvettedu13 et Ozz. La presse n’aime pas trop ça, ce n’est pas “banquable”, mais c’est si vrai ! Et, dès lors qu’un homme politique prend une décision après concertation, elle le plombe en cherchant celui ou celle qui n’est pas d’accord… En le mettant en exergue !

    C’est ainsi… Tout le monde à intérêt aux conflits, pas à la cohésion sur les projets. C’est vrai aussi de l’histoire. Seules les pages de sang s’écrivent dans les livres, les moment de paix s’ignorent…

    Regardez bien : sur tout les projets structurants de Marseille dans les 5 ans qui viennent, les élus sont d’accord sur à peu près tout, droite, centre comme gauche. Là n’est pas la question. L’idée est exclusivement concurrentielle, donner à savoir avant l’autre, sans vérification, sans respect de la personne humaine.

    Une vraie machinerie économique. l’information est ailleurs, elle existe quand même, mais ce n’est plus la tête de gondole.

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