Chougnet : "Si l'on choisit des sujets tièdes au Mucem, on va faire bâiller"
Chougnet : "Si l'on choisit des sujets tièdes au Mucem, on va faire bâiller"
Commentaires
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Quelles salles exactement sont fermées ? Est-ce qu’elles ont été ouvertes en 2013, puis fermées ensuite ? Parce que moi j’ai vu pas mal de choses au Fort Saint-Jean.
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Attention MARSACTU ! La syntaxe et l’orthographe sont des éléments importants pour un media écrit (même numérique !) Vos articles deviennent de plus en plus difficiles à lire
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Une photo rare : chougnet tente un sourire
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La chapelle du fort n’a pas été ouverte que quelques jours, mais plusieurs mois. En réalité elle accueillait le public depuis l’ouverture en juin et s’est retrouvée fermée en février.
Les salles du “village” sont toujours ouvertes pour le moment (incluant les 6 salles sur les théâtres de marionnettes et la salle du cirque).
Les autres salles quant à elles n’ont jamais pu être ouvertes au public (galeries haute et basse des officiers, salle de la fête foraine sur la Place d’armes).
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Qui c’est qui l’ a nommé là ??
Il s’est trouvé une super plaque , n’est ce pas ?. A l’époque de MP2013, il regardait déjà le MUCEM en chantier avec convoitise.
Son bla-bla , c’est du vent. Il était commissaire d’expo à Versailles avec un truc très “bling bling” genre Koons qui ne valait pas tripette. Voilà la ligne CHOUGNET. Bonne video.
http://www.dailymotion.com/video/xsm1xm_l-exposition-vasconcelos-au-chateau-de-versailles-2012_creation
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L’historien Fernand Braudel , dans son ouvrage,paru en 1986 « l’identité de la France »
explique qu’une identité nationale et toujours en construction
Tout d’abord, le titre de son ouvrage a longtemps tourmenté Fernand Braudel. Pour lui, le nommer L’identité de la France supposait qu’il démontre l’unité du pays, car « toute identité nationale implique, forcément, une certaine unité nationale », selon ses mots. Cependant, il avait peur que par ce titre, les lecteurs ne restent cantonnés à une vision simpliste de la France comme « un discours, une équation, une formule, une image, un mythe ». Par conséquent, on comprend pourquoi Braudel, qui commence par un chapitre 1 : « Que la France se nomme diversité » enchaîne aussitôt sur un deuxième chapitre : «La cohésion du peuple» qui met en exergue l’unité du pays. Il n’y a donc aucune restriction de l’un sur l’autre. La France est diversité, composée de milliers d’espaces dotés de microclimats particuliers, faisant fonctionner des micro-économies distinctes, caractérisées par des centaines d’accents et de tonalités linguistiques différentes (la langue d’oc et la langue d’oil ont contribué à diviser la France en deux), des coutumes, des folklores, des habitudes alimentaires, des structures familiales, des paysages, des singularités nationales et régionales qui en font une véritable mosaïque multicolore des nuances les plus variées. Ceux-ci sont toutefois joints par des ciments solides. Mais les villages, bourgs et villes, qui ont tous leur originalité, représentent le pluriel, l’hétérogène et le multiple de la France. Pour lui, il existe un danger à nier les particularismes et la pluralité: « ni l’ordre politique, ni l’ordre social, ni l’ordre culturel ne réussissent à imposer une uniformité qui soit autre chose qu’une apparence ».
Selon cette vision de la diversité culturelle française, les collections du fonds historique du MNATP en confrontation avec les collections « Europe » du musée d e l ‘Homme avec une nouvelle lecture axée sur les diversité culturelles trouvent donc pleinement leur place dans le MUCEM dont le propos est de montrer la diversité des cultures et leurs convergences dans l’espace euroméditerannéen.
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Bonjour Elodie Crezé,
Si vous chatouillez quelque peu Mr Chougnet sur le contenu scientifique (à ce propos, il s’agissait, jusqu’en 2005, du musée DES artS et TraditionS populaireS), contenu dont nombre d’anthropologues ont commenté le manque de pertinence et le caractère idéologique affligeants, vous ne le reprenez pas sur la scandaleuse politique du travail salarié qui est celle du musée actuel, et qui avait fait, dans vos colonnes, l’objet d’un article de fond très intéressant. Plus rien sur la précarité des agents de médiation et l’indigence de la formation, plus rien sur les contrats aux clauses étonnantes (interdiction faite aux agents de médiation de communiquer avec les conservateurs), plus rien non plus sur la politique salariale pour le moins brutale. Tout cela a-t-il été résolu, ou la seule arrivée de Mr Chougnet justifie-t-elle qu’on ne l’interpelle pas sur les points qui avaient pourtant fait l’objet d’un litige avec Mr Suzarelli (si l’on en croit le droit de réponse publié dans vos colonnes, et le commentaire que vous en aviez fait) ?
Faut-il croire que la situation décrite dans votre article “Derrière les résilles du Mucem, des dizaines de précaires” ne correspondait pas à la réalité ?
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Monsieur,
puisque vous n’êtes pas qu’un organisateur de spectacles, voici une proposition.
Avant d’être un musé pour visiteurs, le MuCEM doit être un centre de recherches en ethnologie.
Or, l’ethnologie française est très liée à l’empire colonial.
Donc je suggère une recherche-débat-exposition sur “Marseille et le fait colonial” (incluant Marseille = colonie)
Un beau remue-ménage en perspective !
J’attends d’en voire les manques. Mais là, j’exprime mes préjugés.
Bien cordialement. PV
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Ce soir invitation en avant première, à deux expositions au Mucem : Raymond Depardon et Food. Une queue de 300 m en arabesque autour du Mucem, et le flux croisé des arrivants et des décrocheurs.
On se demande autour de la queue si cette façon de faire n’est pas du Chougnet ou du MP 2013 : arroser tout Marseille de cartons d’invitation, sans prévoir un service d’accueil et de contrôle suffisant, histoire de montrer combien l’engouement suscité par l’évènement était grand ?
Nous faisons le choix de contourner le fort St-Jean et de retourner vers la ville en quête d’une alternative. Pas de lumière autour du fort St-Jean, où existe pourtant un éclairage au sol mettant bien en valeur cette fortification. Un vrai coupe-gorge, à deux pas de l’Hôtel de ville tout illuminé.
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Bis repetita ce soir au Mucem où le nouveau gestionnaire se fout du public. Une copieuse file d’attente dans le froid et sous la pluie, pour la rencontre avec Edgar Morin sur le bonheur, fixée à 19h. La file n’a pas bougé, de 18h50 à 19h20, où elle s’est dissoute, parce que le bouche à oreille a porté la rumeur que c’était complet.
Le bruit courait qu’il n’y avait qu’un seul vigile pour fouiller les sacs. Personne n’est sorti pour informer la file. Pas de haut-parleur à l’extérieur non plus.
Bis repetita ce soir au Mucem où le nouveau gestionnaire se fout du public. Une copieuse file d’attente dans le froid et sous la pluie, pour la rencontre avec Edgar Morin sur le bonheur, fixée à 19h. La file n’a pas bougé, de 18h50 à 19h20, où elle s’est dissoute, parce que le bouche à oreille a porté la rumeur que c’était complet.
Le bruit courait qu’il n’y avait qu’un seul vigile pour fouiller les sacs. Personne n’est sorti pour informer la file. Pas de haut-parleur à l’extérieur non plus.
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