Vigilance orange orages : la rentrée scolaire reportée à mardi 2 dans le département
l'école Jean-Fiolle à Marseille. (Photo : Violette Artaud)
La rentrée scolaire n’aura pas lieu ce lundi 1er septembre, mais mardi, informe la préfecture des Bouches-du-Rhône par voie de communiqué. En cause, la météo : de violents orages accompagnés d’importantes pluies sont prévus dans la nuit de dimanche à lundi et devraient se poursuivre dans la matinée. “Les cellules orageuses seraient peu mobiles, voire stationnaires, et localement les cumuls pourraient être plus importants pour s’élever au total à 100, voire 150 mm par heure”, alertent les services de l’État.
Ainsi, “le préfet a pris la décision, en lien avec les autorités académiques (direction académique des services de l’éducation nationale – Dasen) de reporter la rentrée scolaire à mardi 2 septembre et de suspendre les transports scolaires dans l’ensemble des Bouches-du-Rhône, cela afin de garantir la sécurité des élèves et des parents”, écrit la préfecture dans son communiqué. Les crèches, écoles, collèges et lycées seront donc fermés ce lundi, ils rouvriront mardi 2 septembre pour une rentrée un brin décalée.
Actualisation le 30 août à 16 h : ajout du fait que les crèches seront également fermées, après l’envoi d’un second communiqué de la préfecture.
Commentaires
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Non, ce n’est pas legorafi.
Ils me fatiguent punaise.
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bah….le dérèglement climatique n’est pas une vue de l’esprit, n’en déplaise à certains.
alors, oui, le principe de précaution s’applique et est peut être exagéré, ou pas !
les gens qui s’insurgent : “oh la la … une pluie, et on arrête tout !” seront probablement les mêmes qui en cas de catastrophe -ce qui n’est pas si rare- diront : on aurait pu faire quelquechose ! on a pas été prévenus !
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Malheureusement, compte tenu de l’incapacité de nos dirigeants éclairés de lutter contre le changements climatiques, il faut s’attendre à des perturbations croissantes des activités des uns et des autres. On ne se déplace pas et on ne travaille pas normalement sous des pluies diluviennes ou sous des chaleurs à crever. Ne changeons rien, surtout.
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Connaissant l’inertie des institutions préfectorales justement sur ce sujet, j’imagine aisément que les services météorologiques ont dû sacrément se bagarrer pour faire admettre ce principe de précaution.
Peut-être en ont ils eu marre de se faire insulter à chaque catastrophe….
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