Quand l’accent est source de discrimination

VU SUR LE WEB
Bref
le 13 Nov 2015
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“Au quotidchien, on peut pas le dchire ça à Paris !” L’accent de Marie-Arlette Carlotti à la télé avait fait ricaner le Petit journal qui notait que lorsqu’elle s’exprimait en tant que ministre, la Marseillaise retrouvait miraculeusement une prononciation toute parisienne.

Partant de cette anecdote, un long article fouillé de Slate s’interroge : et si, pour réussir, il fallait changer sa façon de parler ? Le journaliste énumère, expertises socio-linguistiques à l’appui, les situations où le parler “provincial” peut devenir un vrai critère de discrimination. Et, de la petite vexation à l’obstacle d’ordre professionnel, les témoignages ne manquent pas.

Source : Slate
Lisa Castelly
Journaliste

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