Plusieurs élus écologistes créent un groupe autonome au conseil municipal de Marseille
Sébastien Barles, tête de liste de Debout Marseille !
Il s’appellera le groupe écologiste et citoyen. Six élus de la Ville de Marseille se rassemblent pour créer un nouveau groupe au sein du conseil municipal. “Nous souhaitons, en tant qu’écologistes […] agir pour des politiques publiques écologiques fortes, agir pour répondre à la fois aux urgences sociales et aux urgences écologiques, agir en dépassant les étiquettes partisanes et agir en associant de manière inclusive les citoyennes et les citoyens”, écrivent-ils dans un communiqué.
Sébastien Barles, Théo Challande-Névoret, Nouriati Djambae, Hervé Menchon, Fabien Perez, Aïcha Sif sont les “premiers élus engagés dans le groupe”. Une liste qui ne compte cependant pas tous les élus écologistes élus l’année dernière. On compte notamment parmi les absents encartés chez EELV la première adjointe Michèle Rubirola ou la conseillère municipale déléguée Lydia Frentzel. Certains, comme Christine Juste, n’ont pas été informés de la création du groupe. “Ça sera sans moi”, a-t-elle réagi à chaud auprès de Marsactu.
En réflexion depuis plusieurs mois, ce groupe pourrait être une façon pour les écologistes de peser davantage dans les débats en se distinguant du groupe Printemps marseillais, tout en restant dans la majorité. Fabien Perez en sera le président pour six mois. La présidence sera ensuite amenée à tourner.
Commentaires
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Barles va commencer à foutre la merde.
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Pas seulement Barles, mais les écologistes. C’est leur ADN
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Une nouvelle secte, non événement typique.
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Barles et sa famille, comment dire ……….
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Je ne comprends pas trop l’intérêt mais bon.
J’espère que ce n’est pas pour bénéficier de dotations supplémentaires.
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Quelles sont les raisons invoquées ? Ils se sentent peu écoutés, marginalisés, méprisés, au sein de l’équipe municipale ? Ils sont en désaccord avec la politique menée ? Ils ont des ambitions particulières qui vont au delà du PM et de la ville ?
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La raison c’est qu’ils.elles étaient contre le PM au départ, qu’ils.elles s’y sont rallié.e.s contraint.e.s par leurs piètres résultats – et parce qu’ils.elles voulaient les places.
Cela dit, si le PM avait réellement organisé la mobilisation citoyenne et la démocratie des quartiers les eclownos auraient été coincés. Quand on agit ensemble à la base on n’a que mépris pour les manoeuvres d’appareilluscules.
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Zumbi, vos propos sont justes mais gagneraient à être plus lisibles….
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Agir en dépassant les étiquettes, c’est pour ça qu’ils créent un nouvelle étiquette. Nulissime
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Non évènement, possiblement perturbant, hélas…
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Ce n’est pas possible autrement, mais il y doit y avoir quelque part un élevage dans Marseille.Non pas de volailles, non pas le loups,ils sont au Frioul,mais de pitres.Nous en avons une production impressionante.Aujourd’hui ils sont parqués à place d’Aix, à St Just, à Bargemon où au Pharo.Ce nouveau variant de pitre écologique lui est élevé en plein air,mais une question me taraude, où se reproduisent’ils ?
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ceux qui comptaient sur les militants PM pour faire campagne puisque c’est indigne d’eux de mouiller la chemise, de coller et de tracter. D’authentiques parasites
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Fabien Perez, étonnant personnage, n’habite pas Marseille, élu sur le 4 5, présent à aucun conseil d’arrondissement ou moindre réunion, délégué au financement européen, que l’on ne voit nul part, se retrouve embarqué dans cette si attendue équipée sauvage. Quelle poilade… Il faut rappeler qu’il a longtemps été affidé PS. Et socialiste une fois,… Cette stratégie des verts de rendre clanique une situation, pour y apparaître important, est une politique à la petite semaine, qui joue des règles démocratiques articulées autour des partis, personne n’est dupe des holdups démocratiques, le parti de l’abstention en premier.
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Ce qui est le plus terrible c’est que ces pitres (comme les décrit avec raison Brallaisse) sont élu-e-s sur un effet d’aubaine.
Nous sommes à peu près tous convaincus de l’enjeu environnemental et de l’importance d’avoir des politiques publiques écologistes pour éviter les catastrophes qui peuvent encore l’être et de préparer à celles qui vont de toute façon se produire. Cela nous invite souvent à voter pour des candidat-e-s qui se réclament “écologistes”.
Ils/elles ne le sont pas particulièrement une fois aux affaires; entre 2 ou 3 mesures utiles et agréables (piste cyclable, agriculture urbaine, repas végétariens, etc. je précise que je suis favorable) mais anecdotiques (on n’évitera pas les catastrophes avec cela), ils passent leur temps à se disputer des gamelles…
Bref, notre inquiétude et notre sensibilisation sont leur aubaine électorale, ils en bénéficient sans rien devoir.
C’est sûr que l’on ne va pas ramener les classes populaires (encore peu sensibles à ces questions mais impactées par la dégradation des conditions d’habitat et de santé) les jeunes (engagés pour l’écologie sur le terrain, souvent avec véhémence) aux urnes avec leurs gesticulations en vase clos.
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Bien d’accord avec tout ce qui précède. C’est nul et triste.
La séquence régionales et départementales vient de se terminer dans les conditions navrantes que nous connaissons. Ces gens visent le coup d’après, c’est à dire les législatives.
La bataille des investitures est ouverte.
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