Au tribunal, des braconniers présumés, des revendeurs avides et 24 tonnes de palourdes
Ce mardi 23 septembre, le tribunal correctionnel d'Aix-en-Provence se penchait sur un trafic présumé de palourdes pêchées de manière irrégulière dans l'étang de Berre. Sur le banc des prévenus, des pêcheurs "à pied" sans licence et les gérants d'une société peu regardante basée à Sète, contre lesquels le parquet a réclamé deux ans de prison avec sursis.
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Les quantités pêchées sont impressionnantes !
Atteinte à l’environnement, exploitation de la misère, mépris social/raciste, mépris de la santé des consommateurs …
A qui était revendues ces palourdes ? La société Cap Horn alimente qui ? Des restaurateurs ? Des fabriquants de tieles ? Beeerkk, c’est à vous dégoûter de manger ces “productions locales” ! Comment savoir la qualité du produit que l’on mange après ce genre d’affaires ?
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“Le préjudice écologique n’est pas démontré” : très belle “défense” de l’avocat du couple de commanditaires de ce trafic, qui pourra servir ailleurs – dépôt de déchets n’importe où dans la nature, vidange de mazout dans la mer, chasse d’espèces protégées… Une fois que tout aura été détruit, on pourra enfin “démontrer le préjudice écologique”.
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