Après Jean-Claude Gaudin, la justice s’attaque au “maire bis” Claude Bertrand
L'homme âgé de 75 ans était le plus fidèle et le plus influent des collaborateurs de Jean-Claude Gaudin. L'ex-directeur de cabinet a passé une deuxième journée en garde à vue jeudi dans le cadre de l'enquête sur la vieille garde de l'ancien maire, ouverte pour détournement de fonds publics et recel.
Claude Bertrand en 2014, lors de la victoire de Jean-Claude Gaudin aux élections municipales. (Photo JV)
Leforestier et Gilles, article concis,précis,sans emphase.tout est dit sur une gouvernance empreinte de cynisme, sans aucune improvisation, réfléchie, impitoyable pour conserver le pouvoir ,assise sur des obligés à qui l’on assure un train de vie.
J’entends ici et là que ces deux ont tout donné à Marseille,ils lui ont surtout beaucoup pris.
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On ne peut pas reprocher à Gaudin d’avoir eu un homme de confiance en maire-bis, il y en a partout et même dans le privé. C’est le détournement de fonds et les emplois fictifs qui sont le problème. En tout cas, ça sera le moyen peut être de les faire tomber, comme jadis le FBI faisait tomber les mafieux chefs de syndicats en cherchant du coté des impôts non payés. Ca ne me gêne pas non plus qu’ils soient restés tous les deux jusqu’a 75 ans. Un homme ou une femme de confiance reste là si son mentor est là. C’est ceux qui ont réélu Gaudin qu’il faut interroger pour savoir comment, sachant son âge, son maire-bis et les habitudes, ils ont continué à voter pour lui, et surtout ne pas aller voter pour d’autres. S’ils ont tout donné à Marseille, j’aimerais beaucoup savoir quoi, et j’aimerais qu’on le compare à Jean Monnier pour comparer avec ce que l’autre a fait pour Angers.
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A l’heure où l’on voudrait nous faire travailler de plus en plus tard en reculant l’âge de départ à la retraite, JC Gaudin était un précurseur! Cette formidable bande de copains devaient bien rigoler en se racontant leurs “petits malheurs” de septuagénaires… A ce tarif là, ça valait le coup de se retrouver entre potes (surtout qu’on était pas obligés de se rendre au bureau : il n’y en avait pas pour tout le monde!). Le présentiel n’étant pas obligatoire et la “visio” inconnue de ces “chers amis”, les mensualités salaire-retraite devaient être superbes.
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Sans oublier l’auto
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