Persistance de l’alerte à l’ozone : les voitures les plus polluantes interdites en ville
Les voitures les plus polluantes sont interdites de circuler en ville à Marseille ce mercredi, à cause du pic de pollution à l’ozone, détaille la préfecture des Bouches-du-Rhône. Dans un communiqué, les services de l’État précisent que seuls les véhicules disposant d’une vignette crit’Air 1, 2, ou 3, ou roulant à l’électrique ou à l’hydrogène, sont autorisés dans la zone à faibles émissions (ZFE). Celle-ci est délimitée par les axes de Plombières, de Sakakini et du Prado.
Cette mesure intervient alors que le seuil d’alerte de pollution vient d’être relevé au niveau 2. De son côté, la Ville de Marseille avait demandé dès mardi à la métropole la gratuité des transports en commun. Mais cette dernière a réfuté cette option, et se tient aux mesures habituelles. À savoir : la gratuité des vélos électriques pendant 30 minutes et des parkings relais pour les conducteurs disposant d’un ticket RTM. Par ailleurs, ce dernier est valable toute la journée en cas de pic de pollution.
Commentaires
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Si les contrôles sont aussi intenses que ceux qui sont censés garantir le respect de la ZFE, on peut être tranquille : ceux qui préfèrent le je-m’en-foutisme au civisme et ceux qui n’ont pas de solution alternative à leur portée peuvent continuer à utiliser une bagnole pourrie.
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On n’est pas électeur du 8e pour rien !
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Un plein gratuit pour les voitures électriques !
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Coup sur coup, en 2 “brefs” vous m’avez fait hurler de rire ! Merci
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Interdire les voitures polluantes en ville?! Une manière de se donner bonne conscience alors que les bateaux de croisière accostés du côté de Mourepiane polluent 100 000 fois plus Bravo! Au fait, quel est la suite donnée à la pétition qu’avait lancée Payan sur le sujet? Juste de la com ou la mairie porte a-t-elle encore le dossier ? En attendant, ils adoptent profil bas sur le Critair et je n’ai pas le sentiment qu’il y ait le moindre contrôle.
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Ce n’est pas aussi simple que cela, même si la tentation est forte de dire “la pollution, c’est les autres”. En réalité, les données publiées par Atmosud le montrent, le transport maritime et le transport routier (incluant la voiture individuelle) se partagent équitablement la responsabilité de la pollution atmosphérique à Marseille.
Les cartes produites par la même agence montrent d’ailleurs une qualité de l’air dégradée principalement aux abords des grands axes routiers.
Ce qui est préoccupant, en revanche, c’est que les émissions polluantes du transport maritime sont stables depuis des années, tandis que la pollution créée par le parc de véhicules thermiques tend à diminuer grâce au renouvellement de celui-ci.
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