À peine vendu aux enchères par la Ville, un appartement de la Joliette déjà placé en péril
L'un des six logements vendus aux enchères en 2022 est aujourd'hui visé par un arrêté de mise en sécurité urgente. Encore propriétaire pour quelques semaines, la Ville n'avait pas caché la vétusté des lieux, mais n'avait semble-t-il pas poussé l'examen des balcons.
L'appartement propriété de la Ville de Marseille est reconnaissable à ses planches clouées aux fenêtres. Crédit photo : Julien Vinzent.
Commentaires
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Encore les services! C’est amusant , on pourrait préparer les prises de parole des élus à l’avance.
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Mais y a t il de la fumée sans feu?
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Je le répète, il n’y a pas de falsification permettant de mettre des immeubles en péril. D’ailleurs les tentatives de falsification qui avaient pour but de rouvrir des immeubles dangereux pour raison électorale ont été bloquées par le service qui en avait au final la responsabilité.
Certes, il y a eu, fin 2018, des arrêtés de péril qui n’étaient pas suffisamment justifiés. Mais il s’agissait d’une période très particulière où l’administration était totalement débordée par le tsunami de signalements et pendant laquelle les experts du tribunal eux mêmes manifestaient une prudence excessive. Les conditions ne sont plus les mêmes.
On ne déclare pas un immeuble en péril à la légère. Même à Marseille il y a des règles et des gens compétents.
Mais c’est certain, ce n’est pas de nature à nourrir des articles de presse ni des rumeurs croustillantes…
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Désolé, problème d’aiguillage.
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Ah bon, Marsactu, la Ville vend des logements en mauvais état et ce sont les services qui signalent le péril qui sont tatillons?!
Soit ils sont incompétents et corrompus (cf l’article sur les permis et l’action de Mme Chaboche) soit, s’ils font leur boulot, ils sont tatillons. Faudrait savoir !
Si vous voulez du grain à moudre sur le sujet, vous pourriez faire un article sur l’état des propriétés municipales. Ça mange pas de pain, c’est la faute à ceux d’avant. Ces immeubles sont parmi les plus pourris du centre ville. Pour exemple, rue Bernard Dubois où la menace d’effondrement a obligé la fermeture des immeubles mitoyens en bon état (sans doute encore un fonctionnaire tatillon). Vous avez aussi un bel exemple au bas de la Montée des Accoules. Mais il y en a plein d’autres…
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Pour conclure, je trouve dans cet article une certaine complaisance avec l’équipe municipale, quitte à s’improviser expert en bâtiment et donner des leçons aux services compétents sur la différence entre délabrement et réel danger. Un immeuble n’est jamais fermé à la légère. Qu’auriez-vous écrit si un sinistre était survenu après la vente de l’appart?
Pour expliquer ses difficultésn. l’équipe du PM est toujours prête à dénoncer non seulement l’ancienne municipalité mais aussi les services qui seraient tous incompétents ou estampillés Gaudin.
Il est décevant de voir Marsactu lui emboîter le pas sans procéder aux vérifications qui s’imposent.
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Pour aller plus loin sur le sujet, ce serait vraiment intéressant d’enquêter sur la corrélation entre appartements / immeubles en péril et rachat par des investisseurs pour en faire du airbnb. Est-ce que l’architecte dont il est fait mention dans l’article envisage de vivre dans cet appartement ?
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Ne vous racontez pas d’histoire,nil n’y a aucun lien. Les immeubles déclarés en péril sont réellement dangereux et il ne peuvent être reoccupés qu’après des travaux conséquents de nature à mettre un terme durable au péril. De quoi décourager des investisseurs d’ainnb.
Ben non, désolé, tout n’est pas que magouille.
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Ne vous racontez pas d’histoire,nil n’y a aucun lien. Les immeubles déclarés en péril sont réellement dangereux et ils ne peuvent être reoccupés qu’après des travaux conséquents de nature à mettre un terme durable au péril. De quoi décourager des investisseurs d’ainnb.
Ben non, désolé, tout n’est pas que magouille.
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Si ça vous rassure de le penser, allez-y !
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Il n’y a pas lieu de vouloir se rassurer, j’ai suffisamment de connaissances sur le sujet pour l’affirmer. Mais c’est tellement plus croustillant d’entretenir la suspicion….
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donc, au vu de vos connaissances, vous pouvez assurer que ce phénomène n’existe pas ?
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Les techniciens qui déclarent qu’un immeuble est en péril le font en toute liberté et conscience professionnelle, sans bien évidemment aucun lien avec un quelconque investisseur. Il faut cesser de fantasmer sur le sujet. Une rumeur court paraît il sur le sujet mais elle est sans fondement aucun, je peux l’assurer.
Il est clair cependant que l’état dégradé de ce bâti peut a posteriori attiser certains appétits. Mais à qui la faute? Ce ne sont pas les analyses qui provoquent la maladie…
Une précision, sous l’ancienne municipalité, il y a eu des tentatives de pression de la part d’une certaine haute hiérarchie qui agissait sur ordre, pour, à l’inverse, réouvrir plus rapidement des immeubles déclarés en péril, quitte à trafiquer des arrêtés rédigés par le service. Nous étions, il va de soi, à la veille des élections municipales.
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André, il existe aussi des falsifications qui permettent de mettre en péril des immeubles, pour pousser les locataires à partir et revendre l’immeuble à des investisseurs. Ce n’est pas une rumeur, c’est un fait avéré et corroboré.
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Je le répète, il n’y a pas de falsification permettant de mettre de manière injustifiéedes immeubles en péril. D’ailleurs les tentatives de falsification qui avaient pour but de rouvrir des immeubles dangereux pour raison électorale ont été bloquées par le service qui en avait au final la responsabilité.
Certes, il y a eu, fin 2018, des arrêtés de péril qui n’étaient pas suffisamment justifiés. Mais il s’agissait d’une période très particulière où l’administration était totalement débordée par le tsunami de signalements et pendant laquelle les experts du tribunal eux mêmes manifestaient une prudence excessive. Les conditions ne sont plus les mêmes.
On ne déclare pas un immeuble en péril à la légère. Même à Marseille il y a des règles et des gens compétents.
Mais c’est certain, ce n’est pas de nature à nourrir des articles de presse ni des rumeurs croustillantes…
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Encore et encore le calamiteux héritage de la gestion Gaudin et consorts. On pourra continuer longtemps de l’écrire, vu l’ampleur du désastre dans tous les domaines.
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Caveat emptor.
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Et je dirais même plus :abyssus abyssum invocat.
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De profundis clamavi ad te.
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Cher 8eme, et où avez vous mis le Domine?.
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Savez-vous comment la ville s’est permise de racheter un quartier entier un misère ? Voué à la démolition, après des années à laisser à pourrir le secteur, elle a cédé la gestion à son aménageur préféré et la on a mis le paquet pour accélérer la dégradation. Les Arrêtez de périls se sont mis à pleuvoir sur tous les immeubles : On demandait aux propriétaires de réhabiliter leurs immeubles voués à la démolition, en précisant qu’ils allaient être ensuite expropriés une bouchée de pain….Autant dire, que ce fut la poudre d’esquenpete ,
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Poudre d’escampette (suite). Le problème s’est posé lorsque certains ont essayé de faire de la résistance : leur immeuble était entretenu et ils souhaitaient être racheté au prix du marché. Là ces organismes ont redoublé d’imagination perverse pour arriver à leur fins : Dégager les contestataires et les sanctionner encore plus en minorant leurs indemnités compensatrices. Ils ont réussi leur coup, mais pas seuls, ils ont tant d’alliés dans cette ville, près à coopérer….N’est-ce pas Monsieur PATRIS, vous qui étiez aux premières loges, aux services de la SOLEAM, à ce moment là ?
Vous n’avez pas oublié, n’est-ce pas ?
OUI, la magouille est reine dans cette ville et ce qui se sait est tellement insignifiant par rapport à la réalité.
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Apparemment, il s’agit d’un arrêté de mise en sécurité concernant une partie de l’immeuble et non un arrêté de péril de l’immeuble. L’acheteur, architecte, semble avoir prévu la réparation de ce dommage et était complètement au courant de l’état du délabrement intérieur. Que cet arrêté de mise en sécurité ait été pris même si, techniquement, la Ville est toujours propriétaire du bien, me semble normal. C’est le meilleur moyen pour que les risques pour la population soient écartés quelque soit le propriétaire du bien. Le sujet de l’article est pour moi un non-problème au titre inexact (mise en sécurité et non péril) mais susceptible de faire parler, but atteint.
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Nous sommes d’accord. Il y a dans cet article une certaine ambiguïté qui, esprit du temps, est de nature à jeter un doute sur le travail des fonctionnaires.
J’ai la nette impression que cette suspicion est pour beaucoup alimentée par l’équipe municipale qui y trouverait une bonne raison de justifier son inaction.
Aux journalistes de ne pas tomber dans le panneau.
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