The Camp, un pari privé… et public
The Camp, le campus nouvelle génération inauguré ce jeudi soir dans l'Arbois, repose sur un modèle financier dans lequel les collectivités locales ont accepté de prêter 21 millions d'euros aux côtés d'entreprises privées. De leur côté, les porteurs du projet ne livrent que peu de détails sur le modèle économique qui permettra de rembourser ces dettes.
Image de synthèse du cabinet d'architecte Vezzoni et associés.
Commentaires
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Bonjour,
Je suis plutôt enclin à accueillir la nouveauté avec enthousiasme, les initiatives d’un bon oeil et “l’atypicité ” me séduit plutôt.
Cependant, je ne comprends pas bien quel est le projet ? Le contenu ?
L’article nous décrit un contenant sans qu’il nous soit possible d’entrer dans la matière ?
Ne vous méprenez pas, j’ai bien compris qu’il s’agit ici d’une volonté du journaliste de mettre en exergue le ” flou” d’un projet largement financé par le public.
In fine , il est inquiétant effrayant de constater que nos élus et décideurs “y croit” , “sont séduit par le charisme ” ou ” ont envie de faire confiance” ….croire à quoi, confiance en quoi ? On aimerait vraiment le comprendre.
Merci pour ce papier .
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Le site de The Camp semble plus messianique que pédagogique …
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Ce que je crois comprendre : on récupère auprès d’entreprises l’argent de la formation professionnelle et aussi certainement des économies d’impôts en montant des dossiers RSE “Responsabilité Sociale des Entreprises” , ces partenaires privés se paient à bon compte une belle image sociétale , en fait de “l’écolo french tech washing” et amorcent la pompe de bon argent public.
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Et certainement du crédit import recherche, même si à leur échelle il faudra justifier.
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Voilà un article intéressant, heureusement résumé par barbapapa, un commentateur, qui apporte une synthèse de la stratégie suivie pour ce genre de business éducatif, heureusement imaginé et promu par un saint homme… (“Frédéric Chevalier, patron charismatique”), alleluia, mes frères !
La journaliste a eu l’heureuse idée de citer quelques élus qui eux aussi ont fait leur synthèse de ce genre de business éducatif.
Dont celui-ci:
“Plus vindicative, Anne Mesliand, du Front de Gauche, déclarait dans les colonnes de La Marseillaise : « Jusqu’à nouvel ordre on nous avait vendu les partenariats publics-privés en nous disant « là où l’État n’a pas les moyens, il faut que le privé vienne aider ». Et bien aujourd’hui c’est l’inverse, c’est le privé qui vient demander de l’argent public à des collectivités territoriales. » ”
Mais pourquoi précéder cette synthèse de l’expression “Plus vindicatif, Anne Mesliand…”. N’aurait-il pas été plus exact d’utiliser l’expression “Plus anticipatrice, Anne Mesliand…” ?
Est-ce l’influence de la ligne éditoriale?
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Encore une baudruche de “décideurs” qui se dégonfle très vite. Après combien de millions d’euros d’argent public englouti ?
Et avec un entretien au rabais, en combien de temps cela va-t-il devenir une friche ?
Dire qu’ils ont fait ça en pleine nature…
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