Ma voisine s’appelle Diogène (1)
Diogène est parfois votre grand-père, votre voisine ou un oncle lointain qui entasse et ne jette rien au point de risquer d'être enseveli sous les déchets. Marsactu vous offre une plongée en trois épisodes à la découverte de ce syndrome qui hante nos rues.
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Commentaires
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Très bel article, Benoît. Comme toujours.
Humain, empathique, sociologique, plein d’infos. Je me régale.
Incroyable que le constat des pompiers ne débouche sur aucune mesure un peu ferme pour régler (au moins provisoirement) l’entassement et soulager l’entourage.
Sylvie Dep
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C’est vrai, on se régale ! Un vrai bonheur sur le plan de l’écriture et de la lecture. Pour l’histoire c’est beaucoup plus glauque et dramatique…
Cela se lit comme un roman et la fin (ou la morale de l’histoire) est strictement improbable !
On attend avec impatience d’autres “épisodes” sociohumanodramaticorigolo
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Un haletant feuilleton qui commence 🙂
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C’est glauque. Et compliqué.
Je suis étonné de lire que ce ne serait pas un trouble psychiatrique. Ça en a tous les atours. J’avais lu que la prise en charge était compliquée, car “vider” l’appartement pouvait déstabiliser la personne malade au point de pouvoir aller jusqu’au suicide.
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Bel article : diogène glaneur, pour les plus pauvres, plusieurs appartements mystérieux, un décès, des pompiers qui ont peur, un téléphone haineux, zéro déchet. A mettre en lien avec “Marseille poubelle”
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Le devis qui passe de 20000 à 14000, en soit très cher, c’est pire qu’un cuisiniste !
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Un vrai conte moral du XXIème siècle !
Je connaissais plusieurs cas de personnes incapables de jeter quoique soit, mais c’est la première fois que je lis la situation où un appartement n’a nulle autre usage que d’entreposer des déchets glaner dans la rue…
On peut en faire une lecture psychotique, l’entassement compulsif de l’une provoquant une quête compensatoire du zéro déchets de sa voisine. Le tout agrémenté par l’expression de la névrose xénophobe d’un syndic totalement hors sujet.
Maintenant quiconque a visité l’admirable exposition « Vies d’ordures » du MUCEM doit se dire que ce ne sont là, que des symptômes d’une société malade.
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