Dans les écoles, le “plan du siècle” et les maux quotidiens
[Cinq printemps et un bilan] La date du scrutin est fixée et le bilan est imprimé : la majorité municipale se prépare à remettre son mandat en jeu, espérant conserver l'hôtel de Ville à gauche après vingt-cinq ans de règne de Jean-Claude Gaudin. Mère de toutes les batailles en 2020, l'école occupe une place de choix dans les débats. Zoom sur la première politique municipale.
Pierre-Marie Ganozzi, Benoît Payan, Anthony Krehmeier et Pierre Huguet, lors de la rentrée des classes 2023. (Photo : ML)
Commentaires
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Anagramme de « plan du siècle »: Plein de calus.
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Comment rattraper en 5 ans un laisser-aller de 25 ans?
Comment embaucher suffisamment dans un temps de restriction budgétaire? La suppression de la taxe d’habitation qui était un élément important du budget municipal est-elle toujours compensée au dernier euro suivant l’engagement gouvernemental? La balance contributive de Marseille à la Métropole est-elle toujours largement déficitaire (oui)? Laissons du temps au temps.
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C’est bien de communiquer sur les milliard de la rénovation mais qu’en est-il des budgets d’entretien ?
Si les écoles se sont dégradées pendant 25 ans c’est par manque d’entretien et j’ai bien peur que cette situation se représente rapidement car dans notre monde comptable seuls comptent les investissements
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Absolument. Pareil pour toutes les constructions neuves, les espaces publics, la voirie… Qu’ils soient publics ou privés, c’est un sujet vital mais jamais abordé (ou alors quand les plafonds – voire les immeubles – s’écroulent).
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4M€ par an sous Gaudin. 16€ rien que cet été. Cest écrit dans l’article
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Merci @Julien.
Sur la com il faudrait surtout qu’ils arrêtent tous la surenchère, à droite comme à gauche, et se contentent de ce qu’ils peuvent prouver sans tordre les chiffres. Ca nous ferait des vacances de ne pas être obligés d’aller tout vérifier à chaque fois que le camp Vassal ou Payan ouvre la bouche. Mais bon je sais, c’est un peu comme demander des JO sans dopage :p
A part ça je partage l’avis de la déléguée CGT (une fois n’est pas coutume :p) “qu’ils n’avaient pas mesuré l’ampleur de ce qui les attendait” – et pas que sur les écoles – une fois les pieds dans l’opérationnel.
Personnellement je continue à croire cette équipe sincère dans les ambitions qu’elle affiche malgré ses travers, mais là aussi si ils pouvaient tous arrêter de sur-promettre au moment des élections… (voeu pieux #2).
P.S. Je ne comprends cette histoire de calcul sur la pénibilité :
“C’est a minima pour 48 heures par an, soit huit mercredis non travaillés”, rappelle-t-elle. “Avec des semaines de 43 h 20, dans un service où il faut être à 100 %, avec une pyramide des âges vieillissante et de plus en plus de familles monoparentales, on les a trouvés vraiment frileux.”
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Si je résume. La mairie a réduit le temps de travail annuel normal des fonctionnaires (1607h par an) de 48h pour les agents des écoles à cause de la pénibilité des tâches. Cela leur libère désormais 8 mercredi par an. La CGT aurait souhaité plus parce que les agents des écoles font de longues semaines (43h20). Sauf que les longues semaine c’est parce qu’elles ne travaillent pas (ou presque pas) pendant les vacances scolaires.
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Bon, ben finalement, le bilan est bon. Perfectible, en dessous des promesses, mais bon.
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C’est ce que j’ai cru comprendre.
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Bon finalement, beaucoup de choses ont progressé, pourquoi ne pas le dire clairement, pourquoi autant de circonvolutions ? Il faut dire clairement ce qui va.
Tout n’est pas résolu, tout n’est pas parfait, mais on part de tellement loin, franchement en quelques années c’est une révolution. Merci à tous ceux et celles qui ont milité, agi, rien lâché pour que l’on sorte de la situation inadmissible créée par la droite marseillaise.
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