À Marseille, “80 % des gens vivant en squat payent une contrepartie”
Le projet "Issimars" documente très précisément la vie en squat à Marseille. Une première, qui permet une mise au point sur la réalité de ce phénomène, bien loin des idées façonnées par l'imaginaire collectif.
De la terrasse du squat Cazemajou, on voit les tours d'Euroméditerranée. (Photo : B.G)
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