Tops et flops des œuvres empruntées à la bibliothèque l’Alcazar
Marsactu a obtenu les classements des documents les plus et les moins empruntés dans le réseau des bibliothèques de Marseille. Les résultats dessinent un tableau détaillé des habitudes culturelles des visiteurs. Et le livre est loin d’être le plus sollicité. Visite guidée.
Charlie-Camille Flores, directeur de la bibliothèque. (Photo : Marius Rivière)
Commentaires
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• Baromètre des prêts et des acquisitions 2018
• Palmarès des prêts et des acquisitions 2018
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Ancien assistant bibliothécaire, je me permets une petite observation : les romans sont bien moins empruntés que le reste, le temps nécessaire à leur lecture étant fatalement plus long. Un manga ou une BD sont consommé.e.s en moyenne en moins d’une heure, un DVD en deux, et de fait le taux de rotation est bien plus élevé, ces documents passent de main en main beaucoup plus rapidement.
Cet article m’a replongé dans mes terribles campagnes de désherbage dans les rayons, et de mises au pilon : c’était pas simple cette affaire ! Et les campagnes de récolement pour tenter d’y voir plus clair au milieu de ces milliers de documents sont les moments où je faisais mes plus belles découvertes personnelles. Merci pour ce chouette retour en arrière !
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Nous sommes une famille d’emprunteurs assidus, et de plus en plus (pour des raisons d’économies et d’espace disponible). Nous naviguons avec bonheur entre notre bibliothèque de quartier et l’Alcazar, qu’on adore toujours malgré les éternels et fatigants déboires du réseau marseillais. On dévore des livres et des bédés, y compris les incontournables mangas, mais aussi quelques DVD qu’on ramène toujours avec un frémissement de crainte à l’idée qu’ils seront peut-être rayés : on maudit l’emprunteur indélicat qui nous a précédés et n’a rien signalé, lorsque le visionnage s’interrompt au beau milieu du suspense ! Merci pour cette amusant hommage à nos précieuses bibliothèques où on trouve souvent ce qu’on a cherché en vain partout ailleurs et où, comme dit Vand, on découvre au hasard des rayons de merveilleuses pépites.
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un bel article bien rédigé. Le journaliste serait-il aussi un lettré amoureux des mots ? Sans nul doute et bravo de mettre en valeur ce livre rouge à zéro emprunt. Je ne le lirai pas pour qu’il reste à jamais le dernier.
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Joli sujet … Le livre resiste mais la tendance est bien là
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